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Être vieux, c'est être jeune plus longtemps
[Phlippe Geluck]
J'ai été vieux trop tôt, je suis jeune trop tard.
[ Jacques CHANCEL ]
On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]
Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
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La façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède, mais à celui qui la regarde
[Jacques CHANCEL]
Les leçons ne servent généralement qu'à ceux qui les donnent.
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Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
[ Georges Bernanos ]
Je me suis mis au régime : en quatorze jours, j'ai perdu deux semaines.
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La pluie ne mouille que les cons.
[Olivier de Kersauson]
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Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]
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Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
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Certains sentent la pluie à l'avance : d'autres se contentent d'être mouillés.
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Quand on entend tout ce que l'on voit et que l'on voit tout ce que l'on entend, on a raison de ne rien dire de ce que l'on peut voir, et de ne plus rien regarder de ce qui se dit.
[ Jean Aurèl ]
Une vie ne vaut rien
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[ Proverbe chinois ]
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C'est pas parce que on aime les cerises, qu'il faut avaler le noyau.
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Si on le disperse dans le champ, il fertilise la terre et donne des moissons.
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Un 40e anniversaire presque oublié
Il y a 40 ans, le général de Gaulle lançait un pavé dans la mare.
Vive Montréal! Vive le Québec!
Vive le Québec libre!
Vive le Canada français! Et vive la France!
Le Mouvement souverainiste du Québec invite la population à souligner le 40e anniversaire de ce cri du coeur lancé par le général Charles de Gaulle du balcon de l'hôtel de ville de Montréal, le 24 juillet 1967. La population peut se rendre place Vauquelin pour signer un livre d'or.
L'ancien chef du Parti québécois, Bernard Landry, sera présent. Cependant, la chef actuelle du PQ, Pauline Marois, a indiqué que son parti ne soulignera pas cet anniversaire. C'est également le cas du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal.
Quatre mots qui dérangent
Ces vivats lancés il y a 40 ans par le président de la France allaient déclencher la plus grande crise franco-canadienne de l'histoire.
Le général de Gaulle était venu au Québec à l'invitation des gouvernements du Canada et du Québec pour visiter l'Expo 67. Outre la visite de Terre des hommes, le président de la France devait se rendre à Ottawa rencontrer le premier ministre Lester B. Pearson.
Arrivé le 23 juillet à Québec à bord du croiseur Le Colbert de l'armée française, il est accueilli par le gouverneur général du Canada, Roland Michener, et par le premier ministre du Québec, Daniel Johnson. Après un souper au Château Frontenac, le général annonce déjà ses couleurs. « On assiste ici comme dans maintes régions du monde à l'avènement d'un peuple qui, dans tous les domaines, veut disposer de lui-même et prendre en main ses destinées », dit-il.
Le lendemain, 24 juillet, De Gaulle et Johnson se rendent à Montréal en limousine par le Chemin du Roy, qui longe le fleuve Saint-Laurent sur la rive nord. Des arrêts sont prévus dans six municipalités. À chaque arrêt, les deux hommes sont reçus par le maire et les dignitaires de la municipalité.
À Donnacona, le président de la France continue sur sa lancée.
"Je vois le présent du Canada français, c'est-à-dire un pays vivant au possible, un pays qui prend en main ses destinées".
Le général est étonné par l'accueil qui lui est réservé non seulement par les autorités municipales, mais aussi par la population. Plus la limousine approche de Montréal et plus dense se fait la foule sur son parcours.
Un discours imprévu
Dans une lettre, le général de Gaulle s'est expliqué ainsi: « Il vous amusera peut-être d'apprendre qu'aucun discours n'était initialement prévu à Montréal. Mais après le voyage que je fis sur le Chemin du Roy, de Québec à Montréal, après avoir été accueilli, dans chaque village que je traversai, comme un véritable libérateur, après avoir lu, sur les pancartes brandies par des milliers de mains, des mots tels que "Québec libre!", "France libre!", "Vive le Canada français!", je ne résistai pas à l'envie de saisir l'occasion de ce micro oublié sur le balcon de l'hôtel de ville pour dire mon émotion, mon admiration et mon soutien au Canada français, d'une façon qui devait marquer les esprits. Et le maire de Montréal, monsieur Jean Drapeau, me laissa le faire. »
« Vive le Québec libre! » devait déclencher l'euphorie dans la foule des 15 000 personnes massée devant l'hôtel de ville et la colère du gouvernement fédéral.
Une visite écourtée
Le lendemain, 25 juillet, le président de la France visite, comme prévu, Terre des hommes.
La colère d'Ottawa s'explique par le fait que, par son cri, le général de Gaulle semblait apporter son soutien aux indépendantistes du RIN, l'ancêtre du PQ. Le slogan du RIN était précisément « Vive le Québec libre ».
C'est pourquoi le premier ministre du Canada, Lester B. Pearson, réagit en publiant le communiqué suivant: « Certaines déclarations faites par le président ont tendance à encourager la faible minorité de notre population qui cherche à détruire le Canada et, comme telles, elles sont inacceptables pour le peuple canadien et son gouvernement. Les habitants du Canada sont libres. Toutes les provinces du Canada sont libres. Les Canadiens n'ont pas besoin d'être libérés. Le Canada restera uni et rejettera toutes les tentatives visant à détruire son unité. »
Le 26 juillet, le président de la France annonce qu'il renonce à se rendre à Ottawa. Quelques heures plus tard, il prend l'avion pour rentrer en France, sans avoir rencontré le premier ministre Pearson.
Source: http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/complete.asp?sID=361448&sNomFichier=&sURL=/nouvelles/societe/2007/07/23/003-de-gaulle-anniversaire.shtml
De Gaulle et sa célèbre déclaration, 40 ans plus tard
Brian Myles Le Devoir
En juillet 1967, bien des Québécois se considéraient encore comme des Canadiens français, René Lévesque n'avait pas encore quitté le Parti libéral, Daniel Johnson père avait remporté son élection sur le thème «Égalité ou indépendance» et les partis indépendantistes récoltaient moins de 9 % des suffrages. C'est dans ce contexte que le général Charles de Gaulle débarquait pour une tournée triomphale en ces terres françaises d'Amérique.
La visite du chef de l'État français, sous le prétexte de l'Expo 67, était minutieusement planifiée, à commencer par son arrivée. Pour éviter de passer au préalable par la capitale fédérale, de Gaulle avait refusé de prendre l'avion. Il était venu en bateau, à bord du Colbert, pour être ainsi «forcé» d'arriver par la ville de Québec, le matin du 23 juillet.
Empruntant le Chemin du Roy, le long du majestueux fleuve Saint-Laurent, il vit des milliers de personnes l'acclamer, sur terre et sur mer, dans les villes et villages entre Québec et Montréal. Un accueil délirant comme il n'en avait jamais reçu en France, confirma son entourage. Tout un réseau d'autobus avait été prévu pour regrouper le plus de spectateurs possible, à qui l'on avait donné des petits drapeaux du Québec et de la France, rappelle Claude Morin dans son livre L'Art de l'impossible.
Quand de Gaulle arriva finalement à l'Hôtel de ville de Montréal, au début de la soirée du 24 juillet, de 15 000 à 20 000 personnes (selon Le Devoir du 25 juillet 1967) agitaient devant lui le fleurdelisée et le tricolore. Elles brandissaient aussi des pancartes revendicatrices («Appuyez la lutte pour la libération»; «France libre, Québec libre») qui sont sûrement tombées dans l'oeil du général. C'était l'époque où les Québécois, comme les Premières Nations d'aujourd'hui, aspiraient à l'autonomie et à la reconnaissance de leur caractère distinct.
Dans les pages du Devoir le lendemain, le jeune reporter Gilles Lesage décrivait la scène: «La foule, de plus en plus chauffée à blanc, reçut avec enivrement les paroles du président de la France, particulièrement lorsqu'il confia que tout le long de la route, il s'était senti dans une atmosphère semblable à celle de la libération, puis lorsqu'il lança, presque en douceur et après une pause savamment dosée: "Vive le Québec libre." Il avait lâché le grand mot que personne n'avait osé attendre. Ce fut une explosion de frénésie.» L'allocution improvisée du général est accessible dans son intégralité sur le site de youtube.com (tapez simplement «Vive le Québec libre» dans le moteur de recherche).
Sous-ministre aux Affaires gouvernementales lors de la visite de De Gaulle, Claude Morin se trouvait derrière le général lorsqu'il entendit l'impossible. «Ma première réaction, ç'a été de penser à la tête qu'ils feraient à Ottawa et ça m'a bien amusé», se souvient-il. Et quelle tête ils firent! De Gaulle dut écourter son séjour au Canada, sans passer par la capitale fédérale, à la suite de ces déclarations «inacceptables», selon les mots du premier ministre Lester B. Pearson. Vue de la rivière des Outaouais, l'affaire fut dépeinte comme le jour le plus sombre dans l'histoire des relations entre la France et le Canada. «Les Canadiens sont libres. Chaque province du Canada est libre. Les Canadiens n'ont pas à être libérés», affirma M. Pearson.
Les partisans du Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) et leur chef, Pierre Bourgault, n'en demandaient pas tant. René Lévesque parut pour sa part embarrassé par cette ingérence d'un chef d'État étranger dans les affaires internes du Canada et il se rangea derrière la condamnation sans appel de son chef, le libéral Jean Lesage. Le premier ministre Daniel Johnson père, sans doute le politicien le plus concerné par la déclaration, fut le dernier à y réagir avec quelques jours de décalage. À chaud, il susurra cependant à l'oreille de De Gaulle qu'il venait d'utiliser le slogan de ses adversaires politiques.
Le directeur du Devoir, Claude Ryan, fut l'un des premiers, après Pearson, à condamner cette déclaration à l'emporte-pièce. En se laissant «emporter par la foule», le général a formulé des propos «excessifs, voire déplacés de la part d'un chef d'État en visite au Canada», écrivit M. Ryan le 26 juillet. Dans un éditorial sur le bilan de la visite, le 27 juillet, M. Ryan avança une explication tout à fait représentative de l'ambiguïté de la chose politique canado-québécoise (ou québéco-canadienne). «En fait, de Gaulle n'a très probablement pas voulu dire exactement ce qu'on lui a fait dire», écrivit-il.
Le but du général
Qu'avait voulu dire de Gaulle? Les quatre petits mots du général ont généré, en 40 ans, une montagne d'explications savantes. Claude Morin fait partie de la courte liste de personnalités politiques qui peuvent encore témoigner de leur vivant de cet événement historique en compagnie d'André Patry (chef du protocole au gouvernement Johnson) et Marcel Masse (ministre délégué à l'accueil des chefs d'État lors de l'Expo 67).
En avril 1967, M. Morin s'était rendu à Paris pour préparer la visite du président français, et il se souvient très bien d'une longue conversation avec le conseiller diplomatique du général, René de Saint-Légier, relatée dans son ouvrage Mes premiers ministres. «Soyez sûr que le général ne se contentera pas, au Québec, d'inaugurer des chrysanthèmes», avait dit Saint-Légier. Claude Morin s'en souvient d'autant mieux qu'il n'avait jamais entendu pareille expression auparavant. «De Gaulle voulait dire des choses significatives. Ce n'est pas un accident que cette déclaration», pense encore aujourd'hui M. Morin.
Le 27 novembre 1967, à Paris, de Gaulle précisa on ne peut plus clairement ses intentions lors d'une conférence de presse: «À Montréal, la deuxième ville française du monde [...], le déferlement de passion libératrice était tel que la France avait, en ma personne, le devoir sacré d'y répondre sans ambages et solennellement. C'est ce que je fis, en déclarant à la multitude assemblée autour de l'Hôtel de ville que: la mère patrie n'oublie pas ses enfants du Canada, qu'elle les aime, qu'elle entend les soutenir dans leur effort d'affranchissement et de progrès». De Gaulle allait même jusqu'à évoquer l'avènement du Québec «au rang d'un État souverain, maître de son existence nationale», un an avant la naissance du Parti québécois.
Vingt-sept ans après l'onde de choc, l'ancien ministre de l'Éducation Alain Peyrefitte, envoyé au Québec par de Gaulle dans la foulée de sa visite pour consolider les liens avec la France, confirmait que «Vive le Québec libre» n'avait rien d'improvisé. Il confiait à La Presse, dans l'édition du 13 novembre 1994, que de Gaulle avait même été déçu «par le manque de courage et d'audace» des gouvernements Johnson et Bertrand.
Claude Morin, qui a conseillé tour à tour les premiers ministres Johnson et Jean-Jacques Bertrand, rappelle le contexte de l'époque. Treize mois avant la visite du général de Gaulle, les Québécois venaient de réélire un gouvernement de l'Union nationale. Dix ans auparavant, la province était plongée dans la Grande Noirceur, et voilà maintenant qu'elle était propulsée sur la scène internationale. «Pour bien des gens, de Gaulle en donnait plus que le client en demandait», illustre-t-il. «Je crois qu'on a utilisé au contraire tout le potentiel qu'on avait. On est allé aussi loin qu'on pouvait sans exagérer», ajoute-t-il.
Une coopération accrue
L'attachement du Québec à la personnalité de De Gaulle et, à l'inverse, la fixation du général sur le sort de ceux qu'ils appelait «les Français canadiens» possédaient une valeur de symbole terrifiante du point de vue d'Ottawa. De l'indépendance à la souveraineté, en passant par la souveraineté association (avec ou sans trait d'union), sans oublier le partenariat et les conditions gagnantes, la mouvance séparatiste n'est cependant pas encore arrivée à nommer son pays.
Le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle a causé un sérieux refroidissement des relations entre Ottawa et Paris, en plus d'attiser la flamme sécessionniste à court terme. À long terme, c'est une autre histoire.
Selon André Patry, le général de Gaulle s'est avéré tout au plus «un instrument de l'émancipation du Québec». «C'est la France qui nous a sortis de notre isolement sur le plan international. Elle nous a introduits au monde», dit M. Patry, un figure marquante dans le développement des relations internationales du Québec. C'est à M. Patry que l'on doit notamment la théorie du prolongement international des compétences constitutionnelles de la province, épousée par Paul Gérin-Lajoie.
La coopération entre la France et le Québec avait commencé bien avant la visite du général au Canada. Elle reçut cependant «une impulsion considérable» dans les mois suivants, dit Claude Morin. De Gaulle décida notamment de changer le statut du Consulat général de France à Québec pour qu'il relève directement du ministère des Affaires étrangères, à Paris, et non plus de l'autorité de l'ambassade de France, située à Ottawa. Des accords d'échanges bilatéraux furent conclus, notamment dans le domaine de l'éducation, et l'Office franco-québécois pour la jeunesse vit le jour en 1968.
Le Québec s'est mis à recevoir des invitations pour participer à des conférences internationales sans les avoir sollicitées. La France poussait dans le dos de la communauté internationale, explique Claude Morin. «De Gaulle a vraiment permis l'émergence internationale du Québec», dit-il.
Peu avant la visite du général, le Canada se laissait bercer par une douce illusion d'unité en fêtant le 100e anniversaire de la Confédération. La ferveur nationaliste allait passer avec l'arrivée des trois colombes à Ottawa, croyait-on chez les fédéralistes. À cet égard, la visite de Charles de Gaulle aura eu «l'effet d'un électrochoc», pour paraphraser Claude Ryan. En quelques secondes, il aura mis sur la mappemonde le contentieux entre Canadiens anglais et français. On assistait enfin à une conscience plus aiguë du problème dans chacune des communautés, avait observé le premier ministre Daniel Johnson père.
Quarante ans plus tard, ce contentieux historique est loin d'être réglé.
Source: http://www.lequebecois.org/default.aspx?page=48&NewsId=1270
Le chocolat est un aliment particulièrement énergétique qui contient beaucoup de glucides et de lipides. Idéal pour pallier un petit coup de pompe, il présente néanmoins l'inconvénient d'être riche en calories : 500 kcal pour 100 g (550 kcal dans le chocolat au lait). Pour rappel, les besoins moyens d'une femme sont de l'ordre de 1 800 à 2 000 kcal/jour. 100 grammes de chocolat noir absorbés apportent donc à eux seuls un quart de nos besoins quotidiens.
La fève de cacao est une mine de nutriments essentiels : potassium, magnésium (à l'action anxiolytique), calcium, phosphore. Anti-fatigue et dynamisant, le chocolat noir apporte aussi du fer, indispensable aux femmes. Il contient en outre des vitamines A, B, B2, PP et E, qui agit contre le vieillissement. Seul problème : il faut en manger une plaquette entière pour couvrir un tiers des besoins quotidiens recommandés en vitamine E.
Si la vitamine E contenue dans le chocolat noir est bénéfique sur le vieillissement, c'est surtout la centaine de substances chimiques anti-oxydantes (polyphénols, tanins, flavonoïdes...) découvertes dans les fèves de cacao qui sont à l'origine de ses qualités. Ces substances posséderaient de multiples vertus : stimulant cardiaque, décontractant musculaire, lutte contre les dépôts de mauvais cholestérol sur les parois des artères, etc. Particulièrement nourrissant, le chocolat noir stimule l'activité intellectuelle et serait aussi un euphorisant.
Une récente étude parue dans la revue américaine "US Pharmacist" concluait que le chocolat peut se montrer aussi efficace que le thé vert pour la prévention des maladies cardio-vasculaires.
A noter enfin que ces effets bénéfiques le sont beaucoup moins dans des produits comme le chocolat au lait ou dans les barres chocolatées, qui possèdent moins de cacao, et davantage de sucre. Alors pour allier plaisir et ligne, tenez-vous-en à un carré.
Source: http://www.linternaute.com/femmes/sante/focus/04/0403chocolat.shtml
RENDEZ-VOUS
XXXIe FESTIVAL INTERNATIONAL DU CIRQUE DE MONTE-CARLO
Du 18 au 28 janvier - Chapiteau Espace de Fontvieille
L'édition 2007 apportera de nombreuses nouveautés, dont un “ Prix Spécial du Public ”. Les spectateurs auront en effet la possibilité de voter et de participer à un tirage au sort. Autre nouveauté : le Jury, placé sous la Présidence de S.A.S. la Princesse Stéphanie de Monaco, sera composé de grands artistes, ayant eux-mêmes remporté des clowns d’Or, d’Argent ou de Bronze durant les précédents festivals. Aux côtés de ce Jury, le Jury Junior International continuera de siéger.
En ville, après le succès remporté l’an dernier par la Grande Parade, un Open Air Show aura lieu le samedi 20 janvier sur le Port Hercule en début d’après-midi. Des numéros spectaculaires y seront présentés, dont la sensationnelle “ Femme-canon ” !
Enfin, les spectateurs auront le privilège, parmi une trentaine de grands numéros, de retrouver la célèbre famille italienne Casartelli (Cirque Medrano), de découvrir des troupes de jeunes artistes avec l’Ecole du Cirque de Shanghai ou encore une troupe venant de Biélorussie ayant intégré la “ break dance ” dans un numéro de barre fixe, et d'admirer plusieurs troupes de renommée mondiale, notamment les Dossov à la bascule, la troupe Domchin à la double balançoire, la troupe Platinum.
Les spectacles du jeudi 18 janvier et du samedi 20 à 20h seront identiques, de même que ceux du vendredi 19 (20 h) et du dimanche 21 (15h).
Le Gala d’Or, à l'issue duquel seront remises les récompenses aux lauréats, aura lieu le mardi 23 (20 h).
Suivront les représentations du Show des vainqueurs le mercredi 24 (15h), le jeudi 25 (20h) et le vendredi 26 (20h30).
En raison du succès que rencontre le Festival, trois représentations supplémentaires seront données : le samedi 27 (14h30 puis à 20h30) et le dimanche 28 (15h).