Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Milpassion

  • : Mille Passions
  • : Site personnel de Jean Aurèl : MILLE Passions (Billets d'humeur - Gestion de patrimoine - Généalogie - Chroniques - Carnets de voyages - Vidéothèque - Photographies - Festival de Cirques)
  • Contact

Informations :

VIDÉOS:

Actuellement en ligne :

.....

Alfred Hitchcock Présente

- "Le bain de Minuit"

................
Juliette GRÉCO l'insoumise

..........

.
.....
 
  •  
  • MON SITE SUR LE CIRQUE


  •  
  •  
  • A SAVOIR
Vous rechercher l'introuvable film de vos rêves, de votre jeunesse, et personne ne peut vous satisfaire. Sachez que SHOPPING CENTER dispose de plus de 12.000 titres et donc peut-être le vôtre.
Une visite s'impose, de plus vous serez en contact avec des personnes compétentes, qui aiment leur métier, et qui ont le respect de la clientèle et des règles de paiement par correspondance.
Faites connaître autour de vous ce site
SHOPPING CENTER
vous ferez sûrement plus d'un heureux.


LE SITE GENERAL


Le site généraliste (celui des premiers jours) n'est plus en ligne.  
Visualisez les photos de mes voyages 
 

 
 
 
 
LES SITES DE MilPassion
 

 
 
SITE A VOIR
 

Citations :

Être vieux, c'est être jeune plus longtemps

[Phlippe Geluck]

 

J'ai été vieux trop tôt, je suis jeune trop tard.
[ Jacques CHANCEL ]


On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
[ Sacha Guitry ]

La façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède, mais à celui qui la regarde

[Jacques CHANCEL]


Les leçons ne servent généralement qu'à ceux qui les donnent.
[ Pierre Dac ]


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
[ Georges Bernanos ]


Je me suis mis au régime : en quatorze jours, j'ai perdu deux semaines.
[ Joe Lewis ]

La pluie ne mouille que les cons.
[Olivier de Kersauson]


La mode, c'est ce qui se démode.
[ Jean Cocteau ]


Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Toutes choses sont dites déjà ; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer.
[ André Gide ]


Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
[ Beaumarchais ]


Certains sentent la pluie à l'avance : d'autres se contentent d'être mouillés.
[ Henry Miller ]


Et pour quelles raisons étranges, Les gens qui pensent autrement, ça nous dérange ?
[ Michel Berger ]


Il vaut mieux aller quelque part pour rien, que d'y renoncer pour quelques choses.
[ Jean Aurèl ]

Quand on entend tout ce que l'on voit et que l'on voit tout ce que l'on entend, on a raison de ne rien dire de ce que l'on peut voir, et de ne plus rien regarder de ce qui se dit.

[ Jean Aurèl ]

 
Une vie ne vaut rien
Mais rien ne vaut une vie
[André Malraux ]


Une fois, c'est une erreur, deux fois, c'est une mauvaise habitude.
[ Proverbe québécois ]


Il faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.
[ Proverbe chinois ]


Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.

[ Proverbe chinois ]
 

 

Je crois en rien, mais je pratique tous les jours

[Jean Aurèl]


C'est pas parce que on aime les cerises, qu'il faut avaler le noyau.


L'argent est comparable à un tas de fumier.
Si on le laisse en tas, il pollue l'air.
Si on le disperse dans le champ, il fertilise la terre et donne des moissons.

25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 06:33

Un 40e anniversaire presque oublié

Il y a 40 ans, le général de Gaulle lançait un pavé dans la mare.

Vive Montréal! Vive le Québec!

Vive le Québec libre!

Vive le Canada français! Et vive la France!

Le Mouvement souverainiste du Québec invite la population à souligner le 40e anniversaire de ce cri du coeur lancé par le général Charles de Gaulle du balcon de l'hôtel de ville de Montréal, le 24 juillet 1967. La population peut se rendre place Vauquelin pour signer un livre d'or.

L'ancien chef du Parti québécois, Bernard Landry, sera présent. Cependant, la chef actuelle du PQ, Pauline Marois, a indiqué que son parti ne soulignera pas cet anniversaire. C'est également le cas du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal.

Quatre mots qui dérangent

Ces vivats lancés il y a 40 ans par le président de la France allaient déclencher la plus grande crise franco-canadienne de l'histoire.

Le général de Gaulle était venu au Québec à l'invitation des gouvernements du Canada et du Québec pour visiter l'Expo 67. Outre la visite de Terre des hommes, le président de la France devait se rendre à Ottawa rencontrer le premier ministre Lester B. Pearson.

Arrivé le 23 juillet à Québec à bord du croiseur Le Colbert de l'armée française, il est accueilli par le gouverneur général du Canada, Roland Michener, et par le premier ministre du Québec, Daniel Johnson. Après un souper au Château Frontenac, le général annonce déjà ses couleurs. « On assiste ici comme dans maintes régions du monde à l'avènement d'un peuple qui, dans tous les domaines, veut disposer de lui-même et prendre en main ses destinées », dit-il.

Le lendemain, 24 juillet, De Gaulle et Johnson se rendent à Montréal en limousine par le Chemin du Roy, qui longe le fleuve Saint-Laurent sur la rive nord. Des arrêts sont prévus dans six municipalités. À chaque arrêt, les deux hommes sont reçus par le maire et les dignitaires de la municipalité.

À Donnacona, le président de la France continue sur sa lancée.

"Je vois le présent du Canada français, c'est-à-dire un pays vivant au possible, un pays qui prend en main ses destinées".

Le général est étonné par l'accueil qui lui est réservé non seulement par les autorités municipales, mais aussi par la population. Plus la limousine approche de Montréal et plus dense se fait la foule sur son parcours.

Un discours imprévu

Dans une lettre, le général de Gaulle s'est expliqué ainsi: « Il vous amusera peut-être d'apprendre qu'aucun discours n'était initialement prévu à Montréal. Mais après le voyage que je fis sur le Chemin du Roy, de Québec à Montréal, après avoir été accueilli, dans chaque village que je traversai, comme un véritable libérateur, après avoir lu, sur les pancartes brandies par des milliers de mains, des mots tels que "Québec libre!", "France libre!", "Vive le Canada français!", je ne résistai pas à l'envie de saisir l'occasion de ce micro oublié sur le balcon de l'hôtel de ville pour dire mon émotion, mon admiration et mon soutien au Canada français, d'une façon qui devait marquer les esprits. Et le maire de Montréal, monsieur Jean Drapeau, me laissa le faire. »

« Vive le Québec libre! » devait déclencher l'euphorie dans la foule des 15 000 personnes massée devant l'hôtel de ville et la colère du gouvernement fédéral.

Une visite écourtée

Le lendemain, 25 juillet, le président de la France visite, comme prévu, Terre des hommes.

La colère d'Ottawa s'explique par le fait que, par son cri, le général de Gaulle semblait apporter son soutien aux indépendantistes du RIN, l'ancêtre du PQ. Le slogan du RIN était précisément « Vive le Québec libre ».

C'est pourquoi le premier ministre du Canada, Lester B. Pearson, réagit en publiant le communiqué suivant: « Certaines déclarations faites par le président ont tendance à encourager la faible minorité de notre population qui cherche à détruire le Canada et, comme telles, elles sont inacceptables pour le peuple canadien et son gouvernement. Les habitants du Canada sont libres. Toutes les provinces du Canada sont libres. Les Canadiens n'ont pas besoin d'être libérés. Le Canada restera uni et rejettera toutes les tentatives visant à détruire son unité. »

Le 26 juillet, le président de la France annonce qu'il renonce à se rendre à Ottawa. Quelques heures plus tard, il prend l'avion pour rentrer en France, sans avoir rencontré le premier ministre Pearson.

Source: http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/complete.asp?sID=361448&sNomFichier=&sURL=/nouvelles/societe/2007/07/23/003-de-gaulle-anniversaire.shtml


De Gaulle et sa célèbre déclaration, 40 ans plus tard

Bouleversé par l'accueil délirant de Montréal, le général de Gaulle criait du haut du balcon de l'Hôtel de ville, le 24 juillet 1967, sa phrase la plus célèbre de ce côté-ci de l'Atlantique. " Vive le Canada Français....Vive le Québec..... Vive le Québec Libre"

Brian Myles Le Devoir

En juillet 1967, bien des Québécois se considéraient encore comme des Canadiens français, René Lévesque n'avait pas encore quitté le Parti libéral, Daniel Johnson père avait remporté son élection sur le thème «Égalité ou indépendance» et les partis indépendantistes récoltaient moins de 9 % des suffrages. C'est dans ce contexte que le général Charles de Gaulle débarquait pour une tournée triomphale en ces terres françaises d'Amérique.

La visite du chef de l'État français, sous le prétexte de l'Expo 67, était minutieusement planifiée, à commencer par son arrivée. Pour éviter de passer au préalable par la capitale fédérale, de Gaulle avait refusé de prendre l'avion. Il était venu en bateau, à bord du Colbert, pour être ainsi «forcé» d'arriver par la ville de Québec, le matin du 23 juillet.

Empruntant le Chemin du Roy, le long du majestueux fleuve Saint-Laurent, il vit des milliers de personnes l'acclamer, sur terre et sur mer, dans les villes et villages entre Québec et Montréal. Un accueil délirant comme il n'en avait jamais reçu en France, confirma son entourage. Tout un réseau d'autobus avait été prévu pour regrouper le plus de spectateurs possible, à qui l'on avait donné des petits drapeaux du Québec et de la France, rappelle Claude Morin dans son livre L'Art de l'impossible.

Quand de Gaulle arriva finalement à l'Hôtel de ville de Montréal, au début de la soirée du 24 juillet, de 15 000 à 20 000 personnes (selon Le Devoir du 25 juillet 1967) agitaient devant lui le fleurdelisée et le tricolore. Elles brandissaient aussi des pancartes revendicatrices («Appuyez la lutte pour la libération»; «France libre, Québec libre») qui sont sûrement tombées dans l'oeil du général. C'était l'époque où les Québécois, comme les Premières Nations d'aujourd'hui, aspiraient à l'autonomie et à la reconnaissance de leur caractère distinct.

Dans les pages du Devoir le lendemain, le jeune reporter Gilles Lesage décrivait la scène: «La foule, de plus en plus chauffée à blanc, reçut avec enivrement les paroles du président de la France, particulièrement lorsqu'il confia que tout le long de la route, il s'était senti dans une atmosphère semblable à celle de la libération, puis lorsqu'il lança, presque en douceur et après une pause savamment dosée: "Vive le Québec libre." Il avait lâché le grand mot que personne n'avait osé attendre. Ce fut une explosion de frénésie.» L'allocution improvisée du général est accessible dans son intégralité sur le site de youtube.com (tapez simplement «Vive le Québec libre» dans le moteur de recherche).

Sous-ministre aux Affaires gouvernementales lors de la visite de De Gaulle, Claude Morin se trouvait derrière le général lorsqu'il entendit l'impossible. «Ma première réaction, ç'a été de penser à la tête qu'ils feraient à Ottawa et ça m'a bien amusé», se souvient-il. Et quelle tête ils firent! De Gaulle dut écourter son séjour au Canada, sans passer par la capitale fédérale, à la suite de ces déclarations «inacceptables», selon les mots du premier ministre Lester B. Pearson. Vue de la rivière des Outaouais, l'affaire fut dépeinte comme le jour le plus sombre dans l'histoire des relations entre la France et le Canada. «Les Canadiens sont libres. Chaque province du Canada est libre. Les Canadiens n'ont pas à être libérés», affirma M. Pearson.

Les partisans du Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) et leur chef, Pierre Bourgault, n'en demandaient pas tant. René Lévesque parut pour sa part embarrassé par cette ingérence d'un chef d'État étranger dans les affaires internes du Canada et il se rangea derrière la condamnation sans appel de son chef, le libéral Jean Lesage. Le premier ministre Daniel Johnson père, sans doute le politicien le plus concerné par la déclaration, fut le dernier à y réagir avec quelques jours de décalage. À chaud, il susurra cependant à l'oreille de De Gaulle qu'il venait d'utiliser le slogan de ses adversaires politiques.

Le directeur du Devoir, Claude Ryan, fut l'un des premiers, après Pearson, à condamner cette déclaration à l'emporte-pièce. En se laissant «emporter par la foule», le général a formulé des propos «excessifs, voire déplacés de la part d'un chef d'État en visite au Canada», écrivit M. Ryan le 26 juillet. Dans un éditorial sur le bilan de la visite, le 27 juillet, M. Ryan avança une explication tout à fait représentative de l'ambiguïté de la chose politique canado-québécoise (ou québéco-canadienne). «En fait, de Gaulle n'a très probablement pas voulu dire exactement ce qu'on lui a fait dire», écrivit-il.

Le but du général

Qu'avait voulu dire de Gaulle? Les quatre petits mots du général ont généré, en 40 ans, une montagne d'explications savantes. Claude Morin fait partie de la courte liste de personnalités politiques qui peuvent encore témoigner de leur vivant de cet événement historique en compagnie d'André Patry (chef du protocole au gouvernement Johnson) et Marcel Masse (ministre délégué à l'accueil des chefs d'État lors de l'Expo 67).

En avril 1967, M. Morin s'était rendu à Paris pour préparer la visite du président français, et il se souvient très bien d'une longue conversation avec le conseiller diplomatique du général, René de Saint-Légier, relatée dans son ouvrage Mes premiers ministres. «Soyez sûr que le général ne se contentera pas, au Québec, d'inaugurer des chrysanthèmes», avait dit Saint-Légier. Claude Morin s'en souvient d'autant mieux qu'il n'avait jamais entendu pareille expression auparavant. «De Gaulle voulait dire des choses significatives. Ce n'est pas un accident que cette déclaration», pense encore aujourd'hui M. Morin.

Le 27 novembre 1967, à Paris, de Gaulle précisa on ne peut plus clairement ses intentions lors d'une conférence de presse: «À Montréal, la deuxième ville française du monde [...], le déferlement de passion libératrice était tel que la France avait, en ma personne, le devoir sacré d'y répondre sans ambages et solennellement. C'est ce que je fis, en déclarant à la multitude assemblée autour de l'Hôtel de ville que: la mère patrie n'oublie pas ses enfants du Canada, qu'elle les aime, qu'elle entend les soutenir dans leur effort d'affranchissement et de progrès». De Gaulle allait même jusqu'à évoquer l'avènement du Québec «au rang d'un État souverain, maître de son existence nationale», un an avant la naissance du Parti québécois.

Vingt-sept ans après l'onde de choc, l'ancien ministre de l'Éducation Alain Peyrefitte, envoyé au Québec par de Gaulle dans la foulée de sa visite pour consolider les liens avec la France, confirmait que «Vive le Québec libre» n'avait rien d'improvisé. Il confiait à La Presse, dans l'édition du 13 novembre 1994, que de Gaulle avait même été déçu «par le manque de courage et d'audace» des gouvernements Johnson et Bertrand.

Claude Morin, qui a conseillé tour à tour les premiers ministres Johnson et Jean-Jacques Bertrand, rappelle le contexte de l'époque. Treize mois avant la visite du général de Gaulle, les Québécois venaient de réélire un gouvernement de l'Union nationale. Dix ans auparavant, la province était plongée dans la Grande Noirceur, et voilà maintenant qu'elle était propulsée sur la scène internationale. «Pour bien des gens, de Gaulle en donnait plus que le client en demandait», illustre-t-il. «Je crois qu'on a utilisé au contraire tout le potentiel qu'on avait. On est allé aussi loin qu'on pouvait sans exagérer», ajoute-t-il.

Une coopération accrue

L'attachement du Québec à la personnalité de De Gaulle et, à l'inverse, la fixation du général sur le sort de ceux qu'ils appelait «les Français canadiens» possédaient une valeur de symbole terrifiante du point de vue d'Ottawa. De l'indépendance à la souveraineté, en passant par la souveraineté association (avec ou sans trait d'union), sans oublier le partenariat et les conditions gagnantes, la mouvance séparatiste n'est cependant pas encore arrivée à nommer son pays.

Le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle a causé un sérieux refroidissement des relations entre Ottawa et Paris, en plus d'attiser la flamme sécessionniste à court terme. À long terme, c'est une autre histoire.

Selon André Patry, le général de Gaulle s'est avéré tout au plus «un instrument de l'émancipation du Québec». «C'est la France qui nous a sortis de notre isolement sur le plan international. Elle nous a introduits au monde», dit M. Patry, un figure marquante dans le développement des relations internationales du Québec. C'est à M. Patry que l'on doit notamment la théorie du prolongement international des compétences constitutionnelles de la province, épousée par Paul Gérin-Lajoie.

La coopération entre la France et le Québec avait commencé bien avant la visite du général au Canada. Elle reçut cependant «une impulsion considérable» dans les mois suivants, dit Claude Morin. De Gaulle décida notamment de changer le statut du Consulat général de France à Québec pour qu'il relève directement du ministère des Affaires étrangères, à Paris, et non plus de l'autorité de l'ambassade de France, située à Ottawa. Des accords d'échanges bilatéraux furent conclus, notamment dans le domaine de l'éducation, et l'Office franco-québécois pour la jeunesse vit le jour en 1968.

Le Québec s'est mis à recevoir des invitations pour participer à des conférences internationales sans les avoir sollicitées. La France poussait dans le dos de la communauté internationale, explique Claude Morin. «De Gaulle a vraiment permis l'émergence internationale du Québec», dit-il.

Peu avant la visite du général, le Canada se laissait bercer par une douce illusion d'unité en fêtant le 100e anniversaire de la Confédération. La ferveur nationaliste allait passer avec l'arrivée des trois colombes à Ottawa, croyait-on chez les fédéralistes. À cet égard, la visite de Charles de Gaulle aura eu «l'effet d'un électrochoc», pour paraphraser Claude Ryan. En quelques secondes, il aura mis sur la mappemonde le contentieux entre Canadiens anglais et français. On assistait enfin à une conscience plus aiguë du problème dans chacune des communautés, avait observé le premier ministre Daniel Johnson père.

Quarante ans plus tard, ce contentieux historique est loin d'être réglé.

Source: http://www.lequebecois.org/default.aspx?page=48&NewsId=1270

Partager cet article
Repost0

commentaires