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Milpassion

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Citations :

Être vieux, c'est être jeune plus longtemps

[Phlippe Geluck]

 

J'ai été vieux trop tôt, je suis jeune trop tard.
[ Jacques CHANCEL ]


On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
[ Sacha Guitry ]

La façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède, mais à celui qui la regarde

[Jacques CHANCEL]


Les leçons ne servent généralement qu'à ceux qui les donnent.
[ Pierre Dac ]


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
[ Georges Bernanos ]


Je me suis mis au régime : en quatorze jours, j'ai perdu deux semaines.
[ Joe Lewis ]

La pluie ne mouille que les cons.
[Olivier de Kersauson]


La mode, c'est ce qui se démode.
[ Jean Cocteau ]


Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Toutes choses sont dites déjà ; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer.
[ André Gide ]


Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
[ Beaumarchais ]


Certains sentent la pluie à l'avance : d'autres se contentent d'être mouillés.
[ Henry Miller ]


Et pour quelles raisons étranges, Les gens qui pensent autrement, ça nous dérange ?
[ Michel Berger ]


Il vaut mieux aller quelque part pour rien, que d'y renoncer pour quelques choses.
[ Jean Aurèl ]

Quand on entend tout ce que l'on voit et que l'on voit tout ce que l'on entend, on a raison de ne rien dire de ce que l'on peut voir, et de ne plus rien regarder de ce qui se dit.

[ Jean Aurèl ]

 
Une vie ne vaut rien
Mais rien ne vaut une vie
[André Malraux ]


Une fois, c'est une erreur, deux fois, c'est une mauvaise habitude.
[ Proverbe québécois ]


Il faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.
[ Proverbe chinois ]


Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.

[ Proverbe chinois ]
 

 

Je crois en rien, mais je pratique tous les jours

[Jean Aurèl]


C'est pas parce que on aime les cerises, qu'il faut avaler le noyau.


L'argent est comparable à un tas de fumier.
Si on le laisse en tas, il pollue l'air.
Si on le disperse dans le champ, il fertilise la terre et donne des moissons.

21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 10:37
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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 16:40
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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 11:55

Menu2010.jpg

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:36

 

Qu'ils soient à vélo ou à moto, ils commencent sérieusement à me gonfler.
Que je sois en auto ou à pieds, ils commencent  vraiment de plus en plus à m'exapérer.

On les a, sur les trottoirs, à contre sens dans les sens interdits, jeunes ou vieux, ils circulent n'importe où, n'importe comment.
Ils ne respectent pas les feux, dépassent par la droite.
Et les motards, avec leur jambe qui se balade (pour dire soit disant "merci". Merci de quoi ?), et leurs signes avec les doigts entre motards, tout ce cinéma !

Les deux roues OUI, mais quand ils s'intègrent dans la circulation.
Après ils se plaignent que les automobilistes leurs font des vacheries, du coup ils se vengent sur les piétons...

Ce qui me fait rire c'est que le même individu, a pieds traversera hors des clous, gueulera sur la première voiture qui ne le laissera pas traverser, et sur son vélo dépassera par la droite, pour griller le feu et franchira l'axe médian de la chaussée sans vergogne pour tourner à gauche, puis empruntera le trottoir dans la rue à sens unique, et dans sa voiture il ne cessera pas de pestiférer contre les piétons qui traversent sur le passage protégé au rouge, et contre les vélos qui lui passent devant quand il fait la queue.

Le comportement de nos cyclistes est particuliers, les motards ont une autre éducation, mis à part quelques rigolos.

Il y a aussi les cyclistes du dimanche avec toute leur panoplie du Tour de France.

Quand ils descendent de leur engin ils marchent en canard... Ce sont nos grands sportifs français, qui se vantent de faire du vélo : 40km dans les jambes par semaine !

Faut le faire !

 

Voila c'était mon coup de gueule du jour.


Je dois reprendre de l'énergie en ce moment car, cela fait déjà un bail que je n'étais pas venu pousser ma gueulante.
C'est donc que je suis toujours en vie, et qu'on est pas arrivé à me la faire fermer.

 

 

Allez, pédales, fainéant....

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 16:28
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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 06:51
«Le grand échiquier» : la culture par la grande porte
Jean-Luc Wachthausen

Jacques Chancel (au centre) reçoit les comédiennes Sophie Marceau et Véronique Jannot (à gauche) et le pilote automobile, Didier Pironi (à droite), lors d'une émission en janvier 1987.
Jacques Chancel (au centre) reçoit les comédiennes Sophie Marceau et Véronique Jannot (à gauche) et le pilote automobile, Didier Pironi (à droite), lors d'une émission en janvier 1987. Crédits photo : SIPA

Un grand échiquier où les fous, cavaliers, tours, rois et reines seraient les pièces maîtresses d'une émission de trois heures en direct. Une soirée de variétés, c'est-à-dire variée, ouverte aussi bien aux stars qu'aux jeunes talents, musiciens, chanteurs, peintres, écrivains, philosophes et historiens. Pas là pour assurer le service après-vente, mais plutôt pour faire partager leur art, leur savoir-faire au plus grand nombre.

Fort de cette idée toute simple que la culture doit entrer à la télévision par la grande porte, dès 20 h 30, un homme de radio, Jacques Chancel, célèbre pour ses «Radioscopies» quotidiennes sur France Inter, relève le défi. Le 12 janvier 1972, il lance «Le grand échiquier», prolongement plus abouti de sa précédente émission, «Le grand amphi». L'esprit est le même : s'ouvrir aux autres et faire sortir la «grande musique» du cercle des mélomanes et des initiés. Distraire avec intelligence sans tomber dans la cuistrerie.

Pari ambitieux mais gagnant, l'avenir le prouvera. Ce «Grand échiquier» qui, à l'origine, ne devait pas dépasser les treize numéros, durera dix-huit ans, pour s'éteindre tout doucement le jeudi 7 décembre 1989 avec le baryton basse Ruggero Raimondi. Il ressuscitera un seul soir, le 28 décembre 1996, sur France 3. Certaines émissions seront inoubliables : Herbert von Karajan et le Philharmonique de Berlin (voir ci-dessous), Luciano Pavarotti, Placido Domingo, Stéphane Grappelli, les adieux du comédien-français Louis Seigner en présence de Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Alain Delon et Isabelle Adjani. D'autres seront fastidieuses, mal programmées, le dimanche, on les a déjà oubliées…

1972, c'est le temps de feu l'ORTF, époque où le taux d'écoute ne fait pas encore la loi mais où les locomotives comme Sardou, Johnny et Serge Lama monopolisent les écrans. Le vedettariat est roi, le «copinage» aussi. Alors, comment faire du divertissement populaire sans tomber dans la facilité ? Comment ne pas servir la même «soupe» ? Comment échapper à ce ronron qui s'est installé entre les chaînes ? Inventons autre chose, se dit Chancel, qui, tout comme Pivot quelques années plus tard avec «Apostrophes», cultive l'art de la conversation et des faux impromptus en invitant des artistes que l'on voit rarement à la télévision.

Il vise haut : Arthur Rubinstein, Yehudi Menuhin, Lorin Maazel, Placido Domingo, Mstislav Rostropovitch. Il y aura aussi, pêle-mêle, Bernard Hinault, Alain Prost, Jacques Delors, l'équipe de France de rugby, la Comédie-Française, Jean d'Ormesson, Marguerite Yourcenar, Maurice Genevoix, Michel Berger, Barbara Hendricks, Jean-Paul Belmondo, Caroline de Monaco, François Truffaut… Un sacré méli-mélo qu'il suffit d'ordonner en laissant parfois faire le hasard ou la chance. On taxe Chancel d'élitisme, il répond qu'«il ne faut pas se contenter de donner au public ce qu'il aime, mais lui faire découvrir ce qu'il pourrait aimer»…

Alors, pour son premier «Grand échiquier», il joue la surprise et le brassage, ce qu'il appelle «la belle promiscuité». Dans un décor intimiste qui tient de la réunion entre amis, on le voit lancer cette «première» aux côtés d'Yves Montand, vedette cette année-là de quatre films, dont César et Rosalie de Claude Sautet et État de siège de Costa-Gavras. Le ton est sérieux, parfois emprunté, mais toujours chaleureux. Tout semble possible : la mode est au duplex, ces directs par satellite depuis la province, histoire d'échapper à ce parisianisme confiné. Et la technique suit : Georges Brassens, accompagné de son fidèle contrebassiste Pierre Nicolas, doit rejoindre le village d'Ogeu, dans le Béarn, pour participer à une veillée. On le voit partir avec un chauffeur célèbre, Jean-Pierre Beltoise, qui va le conduire jusqu'au Bourget à bord d'une puissante Citroën-Maserati.

Retour ensuite au studio 15 des Buttes-Chaumont, où Chancel donne la parole au petit-fils de Nijinski, tandis que le ballet de Maurice Béjart exécute Nijinski, clown de Dieu. D'autres duplex s'enchaînent, avec les Frères Jacques, tandis que le Trio Fontanarosa joue du Schubert. Plus tard dans la soirée, on retrouve Georges Brassens, son inséparable pipe à la main, deviser modestement avec des étudiants sur la chanson, la poésie et la célébrité… Puis on se rend dans un théâtre parisien où Louis de Funès joue Oscar…

Un vrai tourbillon, orchestré en direct par un homme qui dit vouloir «essayer de pousser des pions» sur un grand échiquier. Ce soir-là, Chancel a imposé un style, le sien, direct, amical, attentif à l'autre, «passeur de culture» qui cite saint Augustin - «J'aime aimer» -, inventeur d'une autre forme de divertissement qui rappelle, par certains côtés, l'émission de Guy Béart, «Bienvenue».

En 1980, Maurice Béjart danse pour la dernière fois

En 1975, l'écrivain et journaliste Marcel Jullian est nommé à la tête d'Antenne 2. Chancel fait partie de sa garde rapprochée. À ses troupes qu'il veut entraîner dans un bel élan de créativité, le nouveau patron, comme un général avant le combat, déclare : «Nous vous offrons la liberté, donc vous voilà en danger.» Message reçu. En compagnie du réalisateur André Flédérick et du chef d'orchestre François Rabbath, il va faire de son émission un rendez-vous incontournable et familier des téléspectateurs. Certes, «Le grand échiquier» connaîtra des fortunes diverses, des menaces de suppression (décembre 1985), mais il résiste. Les invités de renom se succèdent  : Aznavour, Jessye Norman, Charles Trenet, Léo Ferré, Jean Ferrat, Arthur Rubinstein (qui ne voulait pas de chanteurs de variétés !) ou Raymond Devos. À chaque émission, Chancel aime multiplier les surprises et les rencontres. Celle, par exemple, où il parvient à réunir pour la première fois à la télévision, Lino Ventura, César, Yves Montand et Georges Brassens, qui parlent de cette Camarde qui les fauchera tous bientôt. Celle encore du 25 mai 1980, où l'on voit Maurice Béjart danser pour la dernière fois sur Faust. Il fait découvrir aussi deux musiciens promis à un bel avenir,  le violoncelliste Frédéric Lodéon, 24 ans, et le violoniste Emmanuel Krivine, 27 ans.

Quittant les Buttes-Chaumont, «Le grand échiquier» voyage à Rio, au Québec. À  Moscou le 27 février 1989, quelques mois avant la chute du mur de Berlin, Chancel réalise sa première émission franco-soviétique, qui tourne, selon lui, à une sorte de «perestroïka audiovisuelle» . Pas moins. Lyrique, il déclare : «C'est une vraie révolution qui se prépare. Je sais que Gorbatchev dit vrai.» Chez ses invités, les langues se délient. Ainsi, Youri Temirkanov, qui dirige l'Orchestre philharmonique de Leningrad, lâche à l'antenne : «Mon pays s'est déshonoré en chassant Soljenitsyne.» De son côté, le pianiste Michael Rudy, exilé depuis quinze ans, est autorisé à jouer à Moscou. Mais les autorités souhaitaient un autre exilé célèbre, Rostropovitch, qui refusa. Un an plus tôt, le violoncelliste, un peu fâché avec les horaires, avait failli créer un véritable incident diplomatique avec Herbert von Karajan, qui l'attendait pour une répétition avec le Philharmonique de Berlin. «S'il n'est pas là dans dix minutes, il ne jouera pas», avait prévenu sèchement le maestro. Rostro arriva juste avant le coup de gong.

Des mauvais souvenirs de toutes ces années de «Grand échiquier», Jacques Chancel n'en a pas. À la place, il y a du stress, des angoisses et aussi de grands moments de bonheur. Avec notamment Michel Serrault, dont le rêve était de diriger un orchestre symphonique de 120 musiciens et qui ne trouva rien de mieux que de se faire cuire des œufs sous un piano, au grand dam de la sécurité. Ou encore avec Maurice André, qui tordit sa trompette pour être au diapason avec le jazzman Dizzy Gillespie, célèbre pour sa trompette ­coudée.

Des fous rires que Chancel conserve aujourd'hui dans un coin de sa mémoire, sans nostalgie, notant malicieusement que «tout cela est arrivé par hasard».

Jacques Chancel publie «L'inachevé» aux éditions Séguier.
Source : http://www.lefigaro.fr/programmes-tele/2009/07/23/03012-20090723ARTFIG00306-le-grand-echiquier-la-culture-par-la-grande-porte-.php
 

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 12:37

Le mois dernier, un sondage a été mené à l'échelle mondiale par l'ONU...

La question était : « Veuillez donner honnêtement votre opinion sur d'éventuelles solutions à la pénurie de nourriture dans le reste du monde ».

Le sondage a été un échec retentissant.

En effet, en Afrique, personne n'a compris le sens du mot « nourriture ».
 
En Europe de l'Est, personne n'a compris le sens du mot « honnêtement ».

En Europe de l'Ouest, personne n'a compris le sens du mot « pénurie ».

En Chine, personne n'a compris le sens de l'expression : « donnez votre opinion ».

Au Moyen-Orient, personne n'a compris le sens du mot « solution ».

Et aux États Unis, personne n'a compris le sens du mot « le reste du monde ».

 

 

Toute ressemblance avec la "vraie" vie est purement fortuite
Un maire décide de faire repeindre la façade de la mairie. Il lance un appel d'offres. 
On lui présente 3 devis : un Breton, un Basque et un Marseillais.  
Le devis du Breton s'élève à 3 millions d'Euros, celui du Basque à 6 millions, et celui du Marseillais à 9 millions. 
Devant de telles différences, il convoque les trois entrepreneurs séparément, pour qu'ils détaillent leurs estimations ! 
- Le Breton dit qu'il utilise de la peinture acrylique pour extérieurs en deux couches pour 1 million, pour les échafaudages, les brosses, équipements divers et assurances : 1 million, et le million restant c'est la main d'½uvre.
- Le Basque justifie son devis en disant qu'il est meilleur peintre, qu'il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches, dont le coût s'élève à 3 millions. Les échafaudages et autres matériels, équipements et assurances coûtent 2 millions, et le million restant c'est la main d'½uvre. 
- Le dernier, le Marseillais, gagne finalement l'appel d'offres, le Maire estime qu'il présente le devis le mieux justifié.
Le Marseillais lui a présenté comme suit : 
Monsieur le Maire : 3 millions pour vous, 3 autres pour moi, et les 3 restants, nous les donnons au Breton pour qu'il nous peigne la façade. 
TOUTE RESSEMBLANCE AVEC LA VIE POLITIQUE (ou de l'entreprise) DE TA COMMUNE EST PURE COÏNCIDENCE ! ! !

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 16:37
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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 20:32

Madame la Ministre et chère Madame,

Je  viens  de  recevoir  le  bon  de  vaccination  contre  la grippe A/H1N1 et je suis au regret de vous faire savoir que je ne me rendrai pas au centre de vaccination qui m’est indiqué et que je ne me ferai pas vacciner.

Ne  voyez  aucune  animosité  dans  cette  démarche,  je n’ai  rien  contre  la  campagne  de  vaccination  que  vous  avez  engagée,  je  n’ai aucune  opinion  sur  la  dangerosité  du  produit    inoculé  et  je  ne  cherche  pas  à manifester une quelconque opposition au gouvernement en place.

Tout  au  contraire,  j’aurais  bien  voulu  pouvoir  vous  aider  à résorber les excédents de vaccins mais malgré ma bonne volonté à votre égard, il m’est impossible de me déplacer donc de me faire vacciner sauf si vous avez  l’intention  de  visiter les  cimetières,  jardins  du  souvenir  et autres lieux de mémoire car je peux vous assurer que je suis bel et bien décédé.

Cet état définitif n’est pas récent et je ne comprends pas  que mon nom figure

encore  sur  des  listes  «actives»  alors  que  je  ne  suis  plus  de ce monde.

Je  tenais  à  vous  faire  part  de  cette   «anomalie»  qui n’est  sûrement  pas  isolée.  Elle  vous  aidera  sans  doute  à  mieux  comprendre l’estimation des 90 millions de doses  initialement prévues et peut-être pourrez-vous  décider  les  Autorités  Sanitaires   à  remettre  à  jour  leurs  fichiers  plus  que caducs en prévision de la prochaine pandémie.

Sur    l’enveloppe  à  en tête  de la  République Française  figure le slogan. «Stop aux virus de la grippe», Comme le pluriel est utilisé, je me permets de vous suggérer d’y ajouter celui qui m’a fait passer de vie à trépas et tous les virus nosocomiaux  qui font plus de ravage que celui de la grippe, toutes catégories confondues.  Enfin,  puisque  de    je  me trouve  je  peux  me  permettre  une  vision d’ensemble, je vous recommande de lancer sans tarder un immense programme de recherche contre un virus extrêmement virulent  qui ne tardera pas à enterrer le pays tout entier si l’on y prend garde :  celui de l’incompétence.

 

Pour Louis Olès décédé le 5 juin 2004

Sa fille Lucie Abadia

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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 06:43
Le dépassement de soi n'est-il pas meilleur que la démonstration d'un animal savant ?

Les avis sont partagés, mais de plus en plus de spectateurs rejoignent mes positions.



Monaco
Princesse Stéphanie : « Sans les animaux, le cirque traditionnel est mort »
Paru le jeudi 14 janvier 2010 à 08:45
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Photo : Frantz Chavaroche
Alors que la polémique enfle en Europe sur la participation des animaux dans les numéros de cirque, la princesse Stéphanie contre-attaque : « Le cirque permet aussi de conserver les races. Il offre aux familles la possibilité de voir des espèces qu'ils n'approcheraient jamais dans d'autres circonstances. »

Faut-il supprimer les numéros d'animaux dans les cirques ? Pour la première fois, la captation audiovisuelle du 33e Festival international du cirque de Monte-Carlo n'a pu être diffusée sur une chaîne allemande, « à cause du lobbying associatif », dénonce la princesse Stéphanie. Pour elle, il n'est pas question de céder aux menaces ou à la pression. D'ailleurs, la 34e édition du Festival international du cirque de Monte-Carlo présente dès ce soir, jeudi 14 janvier, des éléphants, des otaries, et des fauves, dont - pour la première fois à Monaco - un lion blanc. Explications.

Vous présentez chaque année des numéros d'animaux. Le temps n'est-il pas venu de supprimer ses exhibitions qui nourrissent la polémique ?

Sans les animaux, le cirque est mort. Il y a des causes bien plus graves à défendre. Pourquoi s'attaquer aux grands cirques, alors que les éléphants ou les gorilles d'Afrique sont sauvagement massacrés ? C'est du fanatisme ! Et la cause devient très politique dans certains pays. Les spectateurs, eux, sont, dans l'immense majorité, favorables à la présence des animaux sur la piste. J'en veux pour preuve le vote du public l'année dernière. Ce sont trois numéros d'animaux qui ont été choisis.

Selon vous, les conditions d'existence sont-elles acceptables ?

Les grands chapiteaux ou le festival de Monte-Carlo sont là pour soutenir le cirque ; c'est-à-dire tous les éléments qui le constituent. Les numéros d'animaux en font partis. Il s'agit d'une tradition très ancienne. Ici, le vétérinaire et les dresseurs veillent à la bonne santé des bêtes. Regardez comme les chevaux, les fauves, les éléphants sont bichonnés.

Ils n'ont tout de même pas choisi d'être en cage...

Ils y sont nés, certains depuis dix générations.

Ne faut-il pas tout de même mettre des limites ?

Il faut réglementer les choses et tirer les oreilles à ceux qui agissent mal. C'est la raison pour laquelle la fédération mondiale du cirque a créé une charte, signée par tous les grands cirques, qui garantit les conditions de vie et de travail des animaux.

La polémique n'est pas nouvelle. Mais elle s'amplifie semble-t-il ?

Cette année, les détracteurs sont particulièrement virulents. En Allemagne, la retransmission du 33e Festival international du cirque n'a pas été possible. C'est pourtant un pays qui nourrit une tradition du cirque séculaire. Nous ne céderons pas et continuerons à présenter des animaux dès lors que nous serons convaincus qu'ils sont traités avec égard, plus, avec amour.

Est-ce le cas chaque année ?

Les dresseurs n'ont pas un jour de vacances. Ils vivent au rythme de leurs animaux et les sollicitent, sur la piste, en fonction de leurs personnalités. La complicité est flagrante. On la voit cette année par exemple entre les otaries et le couple formé par Petra et Roland Duss. Les chevaux sont parfois bien plus mal traités dans les centres équestres.

Ce qui est valable pour les chevaux l'est-il pour les animaux exotiques ?

Le cirque permet aussi de conserver les races. Il offre également aux familles la possibilité de voir des espèces qu'ils n'approcheraient jamais dans d'autres circonstances. Dans ce sens, nous avons un rôle pédagogique.

Savoir +

34e édition du Festival International du Cirque de Monte-Carlo, chapiteau Espace Fontvieille à Monaco du 14 au 24 janvier. Résa. :www.montecarlofestival.mc ou www. France-billet.com et FNAC. Fax : +377.92.05.26.22. Tél. : +377.92.05.23.45. Sur place, les guichets du Cirque sont ouverts au Chapiteau de l'Espace Fontvieille de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h.

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31 décembre 2009 4 31 /12 /décembre /2009 12:11
Je ne raffole pas des émissions de M6 qui traînent en longueur a grands coups de coupures publicitaires, je voulais juste croire que Céline PERRET serait sélectionnée en finale et empocherait les 100.000 €uros.
Elle était ma favorite avec la Montréalaise a la bouille de Norma Jean : Sabrina 19ans contorsioniste qui s'en sort dixième finaliste.
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Céline ne sera que quatrième !
Je me dispenserais de tous les autres commentaires que je pourrais vous faire sur les autres candidats et leurs prestations...
M6 a renouvelé ces animateurs, c'est un bon point ! Enfin plus de Castaldi et autre batardes de la télévision moderne.
Gilbert ROZON est de loin le meilleur a juger des compétences de ces artistes en herbe. C'est un Canadien évidemment je ne vais pas le critiquer!
Smaïn m'a  surpris (dans le bon sens) par ses jugements.
Quant a Valérie Stroh, très belle à l'image, très agréable à regarder n'a fait que la potiche sans nous réveler un quelconque enthousiasme délirant pour cette finale d'une qualité très moyenne, et bien du style M6.


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DANS LE PROGRES:

Rayon voix, c'est un peu la Susan Boyle de la version française d'Incroyable Talent. Céline Perret, assistante commerciale de 29 ans, est chanteuse lyrique.

Repêchée par le jury lors de la deuxième demi-finale la semaine dernière, cette habitante de Sourcieux-les-Mines, originaire de Saint-Genis-Laval, doit sa participation à l'émission « à mon mari Sébastien et à mes parents, qui m'ont toujours poussée. J'ai été élève à la maîtrise de l'opéra de Lyon puis au conservatoire national de région de Fourvière, mais ce n'est pas une formation qui débouche sur un métier. En allant à Incroyable Talent, je ne pensais pas aller si loin. »

La semaine dernière, alors que le jury devait désigner les derniers finalistes, Céline a bien cru que son rêve allait s'arrêter là.

« J'étais en concurrence avec Florian, le magicien de Bordeaux, et je pensais vraiment que le jury allait le choisir plutôt que moi. Mais finalement, c'est bien moi que l'on a retenue. »

Céline a été émue par l'enthousiasme de Smaïn, « qui s'est levé à la fin de ma prestation. Et Gilbert Rozon m'a aussi dit que ce que j'étais en train de faire allait changer ma vie. »

Alors ce soir, la jeune femme est bien décidée à aller au bout de son rêve. « Je suis sereine, d'autant qu'on va avoir 30 secondes de plus qu'en demi-finale, ce qui me permettra de finir mon air sans avoir besoin d'en occulter une partie. »

Mais ne comptez pas sur Céline pour dévoiler le thème de sa prestation en finale.

« C'est top secret » lance-t-elle dans un sourire. « Seule ma famille est au courant, puisqu'ils m'ont vu répéter au moins deux heures par jour, depuis la semaine dernière et mon retour de Paris. Je peux juste vous dire que je serai dans le registre de l'émotion, plus que dans la performance vocale comme c'était le cas en demi-finale. »

La chanteuse lyrique, qui n'a pas eu de contact avec des producteurs depuis son passage dans l'émission, sait qu'elle n'a rien à perdre dans l'aventure.

« C'est un challenge que je veux relever » conclut-elle.

http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2524129,184/Celine-Perret-espere-changer-de-vie.html

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 22:20
Et oui, pour une fois ce ne sont pas des galéjades.
Dans moins de deux mois, la période des Festivals du Cirque reprend.
Je vis au rythme du Canada en été et du Cirque en hivers, depuis déjà plusieurs années.
A chacun ses saisons....
Je vis aussi dans un monde de photos, de regards, de signes, d'interprétations.
Je voudrais vous faire partager mes passions, comme vous le savez, elles sont nombreuses.
Voici celles des photos merveilleuses.
Moi ça me fait rêver... mais je suis un vrai gosse, qui ne sera jamais adulte....

 
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