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Milpassion

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Citations :

Être vieux, c'est être jeune plus longtemps

[Phlippe Geluck]

 

J'ai été vieux trop tôt, je suis jeune trop tard.
[ Jacques CHANCEL ]


On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
[ Sacha Guitry ]

La façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède, mais à celui qui la regarde

[Jacques CHANCEL]


Les leçons ne servent généralement qu'à ceux qui les donnent.
[ Pierre Dac ]


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
[ Georges Bernanos ]


Je me suis mis au régime : en quatorze jours, j'ai perdu deux semaines.
[ Joe Lewis ]

La pluie ne mouille que les cons.
[Olivier de Kersauson]


La mode, c'est ce qui se démode.
[ Jean Cocteau ]


Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Toutes choses sont dites déjà ; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer.
[ André Gide ]


Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
[ Beaumarchais ]


Certains sentent la pluie à l'avance : d'autres se contentent d'être mouillés.
[ Henry Miller ]


Et pour quelles raisons étranges, Les gens qui pensent autrement, ça nous dérange ?
[ Michel Berger ]


Il vaut mieux aller quelque part pour rien, que d'y renoncer pour quelques choses.
[ Jean Aurèl ]

Quand on entend tout ce que l'on voit et que l'on voit tout ce que l'on entend, on a raison de ne rien dire de ce que l'on peut voir, et de ne plus rien regarder de ce qui se dit.

[ Jean Aurèl ]

 
Une vie ne vaut rien
Mais rien ne vaut une vie
[André Malraux ]


Une fois, c'est une erreur, deux fois, c'est une mauvaise habitude.
[ Proverbe québécois ]


Il faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.
[ Proverbe chinois ]


Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.

[ Proverbe chinois ]
 

 

Je crois en rien, mais je pratique tous les jours

[Jean Aurèl]


C'est pas parce que on aime les cerises, qu'il faut avaler le noyau.


L'argent est comparable à un tas de fumier.
Si on le laisse en tas, il pollue l'air.
Si on le disperse dans le champ, il fertilise la terre et donne des moissons.

25 janvier 2006 3 25 /01 /janvier /2006 14:13
La rédaction web des Echos - 23 janvier 2006 Envoyer à un ami Imprimer l'article Retour
International > Dossiers
 Québec : l'hypothèse d'un autre référendum [ 23/01/06  - 08H59 ]

Les velléités souverainistes des Québécois n'ont pas disparu. Un franc succès du Bloc québécois, aujourd'hui, dans la Belle Province pourrait leur redonner du tonus. Mais une poussée conservatrice peut changer la donne.

Un troisième référendum sur l'indépendance du Québec aura-t-il lieu ? Si le Bloc québécois, qui défend à Ottawa les revendications souverainistes de la Belle Province, reconduit ou améliore son score des élections législatives fédérales de juin 2004 (53 sièges sur les 75 de la province), l'hypothèse n'est pas à exclure. Plusieurs observateurs pensent, en effet, qu'un succès au niveau fédéral pourrait servir de tremplin au Parti québécois (PQ) lors des prochaines élections provinciales, qui devraient se tenir d'ici à dix-huit mois. Or, le nouveau leader du PQ, André Boisclair, a déjà annoncé, qu'aussitôt au pouvoir, il convoquerait un nouveau référendum.

« Un avertissement clair »
Pourtant, depuis l'amère défaite de 1995 (le « non » l'avait emporté avec 50,6 % des voix), la cause souverainiste semblait n'avoir cessé de perdre du terrain. Une impression démentie par Jean-Marc Léger, président du premier institut de sondage québécois, Léger Marketing : « Il y a toujours environ 40 % de Québécois profondément fédéralistes et 40 % de souverainistes convaincus. Ce sont les 20 % d'indécis qui décident du sort de la province. »
Et la balance lui semble pencher cette fois du côté séparatiste. « Le scrutin très serré de 1995 était un avertissement clair au gouvernement fédéral, explique-t-il. Qu'a-t-il fait pour y répondre ? Il a fait voter la «loi sur la clarté», qui encadre et limite la portée d'un futur référendum. Il a déséquilibré les finances de la province en réduisant ses transferts financiers. Et il s'est englué dans le scandale des commandites, destiné à vanter le fédéralisme aux Québécois. » En outre, souligne Alain Gagnon, chercheur à l'Université du Québec à Montréal (Uqam), « l'actuel gouvernement libéral provincial de Jean Charest est très impopulaire », accusé de s'attaquer au modèle social québécois, en revoyant à la baisse certains acquis sociaux ou en cherchant à imposer des partenariats public-privé, mal vus par une population très attachée aux services publics.
Ce regain de souverainisme préoccupe les milieux d'affaires, d'autant que l'économie du Québec n'est pas particulièrement florissante avec plus de 8 % de chômage et une dette de 118 milliards de dollars canadiens, équivalente à 44 % du PIB (sans parler de sa part dans la dette fédérale). « La situation financière de l'Etat québécois n'offre pas beaucoup de marges de manoeuvre », reconnaît Gilles Soucy, chef économiste du groupe bancaire mutualiste Desjardins.

Opération de séduction
C'est pourquoi l'idée d'une troisième voie, dans laquelle le Québec gagnerait en autonomie sans claquer la porte de la fédération, refait surface. Gilles Duceppe, le leader du Bloc québécois, n'a cessé de le répéter, la Belle Province entend être reconnue en tant que « nation », et veut pouvoir parler de sa propre voix - francophone (*) - sur les questions de culture, d'éducation et de santé au sein des organisations internationales comme l'Unesco.
Le chef conservateur Stephen Harper l'a bien compris en leur parlant de « fédéralisme d'ouverture ». Une opération de séduction non dénuée d'arrière-pensées. Car si les élections se gagnent en Ontario, une majorité gouvernementale - sans laquelle, même élus, les conservateurs n'auront aucune marge de manoeuvre aux Communes - ne peut s'obtenir sans un minimum de sièges au Québec. Et les Tories n'en ont aujourd'hui pas un seul...

A. D.


(*) La province compte 80 %de francophones,9 % d'anglophones et 10 % d'« allophones » (autres langues).
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19 janvier 2006 4 19 /01 /janvier /2006 17:27
J'aime la photographie...

Comme tout le monde je photographie
C'est une marotte un hobby
Mais pas n'importe quoi, pas n'importe qui
Saisir une atmosphère, suspendre le temps
J'aime les vieilles pierres, les monuments
Les artistes, les comédiens, les chanteurs,
Les clowns, les équilibristes, les jongleurs
Les vues grandioses, la mer, les paysages
L'insolite, le bizarre et les expressions du visage.
Mais aussi, les animaux, la forêt, la montagne,
La faune, les fleurs, Les grands espaces, la campagne.

J'ai commencé mes immortalisations avec un MEsuper Pentax
No problème, pour un début c'était relax
Zoom avant sur la trapeziste
Retour arrière vers la piste
Comme le dit Bénabar, on fait tous les mêmes photos
Souvenirs de fêtes, de vacances, souvent égales à zéro
Puis vint le temps du Cosina et de l'Olympus
Cellules, objectifs, grand angle en plus
Chroniques de voyages
Poses pas toujours très sages
Venise, Rome, Niagara,
Sylvie, Nadège, Barbara,
Tigres, Eléphants, chiens et Chats.

Et puis toutes ces belles images
Comme moi, ont pris de l'age
Loin de les oublier, elles forment un instant d'éternité
Graver dans ma mémoire, je revis ces clichés
Souvenirs d'un temps passé

Aujourd'hui Nikon et Sony
Sont devenus des compagnons de vie
Par curiosité, ou par Plaisir
Seulement un besoin de souvenirs
Lumière, ombres et contre jour
La photographie se savoure
Reflets et contre champs
Quel fabuleux passe-temps
Vitesse, sensibilité
Voila l'instantané
Difficile à maitriser
Hier en argentique
Aujourd'hui plus ludique
Et à la fois plus économique
C'est l'aire du numérique

Jean Aurèl
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19 janvier 2006 4 19 /01 /janvier /2006 10:18
Monaco, tous les chapiteaux du monde
Sophie Latil
[19 janvier 2006]

Pour ce trentième anniversaire de la manifestation, qui sera désormais présidée par S.A.S. la princesse Stéphanie, un prestigieux hommage sera rendu au prince Rainier III, qui avait mis en place cet événement en 1974, grâce notamment à la famille Bouglione qui lui avait loué son chapiteau pour l'occasion. «Le cirque alors se portait mal, rappelle le docteur Alain Frère, conseiller artistique. Il était à cette époque essentiellement mis en scène par les enfants de la balle. Le prince avait pour eux un grand respect et souhaitait donner à leur art les lettres de noblesse qui lui était dues. Les artistes de toutes les nations lui ont fait confiance. Aujourd'hui, les dynasties de la piste ne sont plus seules à occuper la scène. La grande majorité des numéros est présentée par de jeunes passionnés venus de toutes parts.»


Au programme cette année, un extraordinaire best of des éditions précédentes avec treize numéros qui ont reçu le clown d'or, la plus prestigieuse des récompenses attribuées par le jury à l'issue du festival. Merveilleuse invitation au fantastique, à l'humour et à l'exploit donc.

Grande parade


Venus de Russie, les Rodion feront s'envoler leur célèbre voltigeuse, la seule femme au monde capable de réaliser un quadruple saut périlleux à la barre russe. Les Quiros (Espagne) couperont le souffle aux spectateurs lors de leur incroyable numéro d'équilibristes. L'Américain Anthony Gatto, le jongleur le plus performant à l'heure actuelle, ne manquera pas à l'appel. Ni les Puzanovi (Russie) et leur spectaculaire numéro de bascule pas plus que les Flying Girls du Cirque d'Etat de Pyongyang (Corée du Nord), porteuses de la longue tradition du trapèze volant coréen. L'une des vedettes de l'édition, le clown russe Popov, vient de fêter ses 75 ans. Il a été couronné en 1981 pour l'ensemble de sa carrière, excellant dans les parodies de numéros de cirque.


Par ailleurs, un cirque sans animaux ne peut être digne du nom de cirque. Le festival, depuis toujours fidèle à la tradition, et suivant le principe fondamental du respect des bêtes, accueillera Maud Gruss dans La Poste aux côtés du maître écuyer Alexis Gruss ainsi que le Suisse Fredy Knie Junior et ses chevaux arabes et frisons dont le dressage demeure une référence dans le monde du cirque. Simulta nément au festival, les arts circassiens investiront toute la ville. Une grande parade permettra notamment de voir, samedi, l'ensemble des artistes et des animaux participant à l'événement. Défilé du chapiteau à la principauté.


Chapiteau de l'Espace Fontvieille, jusqu'au 27 janvier. Tél. : + 377.92.05.23.45.

Source: http://www.lefigaro.fr/culture/20060119.FIG0016.html?080210


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Nice Rendez-Vous : Festival International du Cirque de Monte Carlo

festival-international-cirque-MonacoLe 30e Festival International du Cirque de Monte Carlo va bientôt débuter ! Créé en 1974 par le Prince Rainier III pour promouvoir l’Art du Cirque, le Festival International du Cirque de Monte-Carlo, près de Nice, fêtera cette année sa 30e édition. Il est désormais placé sous la Présidence de S.A.S. la Princesse Stéphanie, qui travaillait déjà depuis de nombreuses années aux côtés de Son Père à la réussite et au rayonnement de cette manifestation. La réputation qu’il a acquise en a fait l’événement mondial dans le monde du cirque : les Clowns d’Or, d’Argent et de Bronze sont d’ailleurs souvent comparés aux Oscars du cinéma.Pour ce 30e Festival, S.A.S. la Princesse Stéphanie assistée du Comité d’Organisation a décidé, en accord avec S.A.S. le Prince Albert II de Monaco, de présenter les meilleurs numéros primés dans les années passées, sans compétition.
Les spectacles se dérouleront comme à l’accoutumée, le spectacle d’Or du jeudi 19 janvier étant repris le samedi 21, celui du vendredi 20, le dimanche 22 janvier 2006. La soirée du mardi 24 janvier sera réservée au gala d’Or rassemblant les artistes des deux spectacles dans une présentation unique. Le public vivra donc, en un peu plus d’une semaine, un véritable « Best Of » de cette manifestation.


Et l’une des vedettes de ce Best Of sera incontestablement le clown russe Popov, Clown d’Or en 1981 (8e Festival) pour l’ensemble de sa carrière et qui vient de fêter ses …75 ans ! C’est à Popov que l’on doit notamment les parodies de numéros de cirque, une véritable révolution pour l’époque, qui lui valurent un succès qui ne s’est jamais démenti. Et le public du 30e Festival sera certainement surpris de la vitalité de ce clown qui reste tellement d’actualité !
Le public retrouvera donc, outre le célèbre clown russe Popov d’autres numéros de très haut niveau et les artistes suivants : Anatoly Zalewski (Ukraine) dans un numéro d’équilibre vertical à couper le souffle : un moment d’émerveillement garanti ! Fredy Knie Junior (Suisse) et ses chevaux arabes et frisons dont le dressage demeure une référence de qualité dans le monde du cirque ; La Troupe Acrobatique de Canton (Chine) et son célèbre pas de deux que le public du Festival a estimé être le meilleur numéro jamais présenté ; David Larible (Italie) qui a fait les beaux jours des spectacles du plus grand cirque du monde, le Ringling, Barnum, Bros and Bailey ; Les Flying Girls du Cirque d’Etat de Pyongyang (Corée du Nord), porteuses de la longue tradition du trapèze volant coréen ; Les Fratelli Errani (Italie), qui présenteront un numéro d’Icariens révélateur des ambitions de la jeune génération du cirque transalpin ; Les Puzanovi (Russie) et leur incroyable numéro de bascule ; Les Quiros (Espagne), équilibristes travaillant sur deux câbles superposés ; Anthony Gatto (USA) considéré comme le meilleur jongleur à l’heure actuelle ; Les Rodion (Russie) avec leur célèbre voltigeuse, la seule femme au monde capable de réaliser un quadruple saut périlleux à la barre russe ; Les Flying Tabares (Mexique) dans un numéro de trapèze volant, comme on en a rarement vu ; et Maud Gruss dans « La Poste » aux côtés du grand Maître écuyer Alexis Gruss (France).Des moments de pur bonheur en vue, comme seul sait en offrir le Festival International du Cirque de Monte-Carlo, la plus ancienne manifestation au service des Arts du Cirque !

Réservations
Fax : +377.92.05.26.22 – Tél : +377.92.05.23.45
Par correspondance :
Monte Carlo Festival – Avenue des Ligures
MC 98000 MONACO


 
Date de publication : 2006-01-11
Auteur : VW
Sources : Principauté de Monaco
Lien : http://www.nicerendezvous.com/FR/actu-1190.html


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13 janvier 2006 5 13 /01 /janvier /2006 11:28
Voilà un bon début d'année avec le nouvel album de Bénabar "Reprises de négociations"
Toujours à mon goût et avec des paroles plus vraies que nature.
Je voulais juste vous le conseiller. Je sais certains n'aimeront pas. Tanpis s'il vous dérange.
Dans ce monde musical en décalé, émmergent Jeanne CHERHAL, la québécoise Lynda LEMAY (qui dérange aussi...) et Bruno BENABAR.
Je pense aller le voir en concert prochainement, je vous en dirais plus...
Mais déjà j'adore "Maritie et gilbert CARPENTIER" que j'ai bien connu, comme ce monde de paillettes de la SFP de l'époque (souvenirs d'un temps passé...) c'est déjà un disque d'or !
"Le diner" , "Bruxelles" (offrir une ville, voilà une idée de cadeau!), "le fou rire" et bien sûr mon coup de coeur "Tu peux compter sur moi" (les paroles ci-dessous).
Après "Les risques du métier" Bruno Bénabar reste fidèle à lui même, c'est donc un nouvel album dans la continuité musicale et verbale, bien adaptée.
Merci d'être là.

Si t’as besoin de moi, peu importe le problème, pour te tendre la main si les autres portes se referment. La mienne est ouverte sans question, sans conditions, faut juste s’entendre sur la date j’ai des obligations.

Tu peux compter sur moi, quand tu veux et où que ce soit, je serai toujours là pour toi, tu peux compter sur moi, mais surtout n’oublie pas...

Faut pas que ce soit trop loin, j’prends pas l’avion j’ai trop peur, j’prends pas non plus
le bateau parce que j’ai le mal de mer. Je peux venir en train mais je voyage en première, comme j’conduis pas, pour la voiture il me faut un chauffeur. Sinon, à part ça, tu peux compter sur moi. Si tu as perdu le goût et perdu le chemin, si tu tiens à peine debout, si c’est la peine qui te tient. Si tu te sens seul, si t’as besoin d’une épaule, si tu te sens mal, t’hésites pas, tu m’appelles.

Tu peux compter sur moi, quand tu veux et où que ce soit, je serai toujours là pour toi, tu peux compter sur moi, mais surtout n’oublie pas...

Le week-end ça m’arrange pas, la semaine j’suis pas trop joignable. Les vacances pourquoi pas, sauf que je coupe mon portable. Je peux je crois en juin, mais vaut mieux que je vérifie. Dimanche en huit je fais rien, ah non ! Je serai pas à Paris. Sinon, à part ça, tu peux compter sur moi. Faut pas que ce soit trop loin et faut choisir le bon jour, mais je serai là pour toi, j’espère que tu en es sûr. Tu me raconteras tes malheurs, j’dirai des banalités, on parlera pendant des heures et si c’est pas assez, j’te jouerai n’importe comment les morceaux de Joe Dassin, on sortira les trompettes et tant pis pour les voisins.

Si un jour ça va pas, j’espère que tu viendras… je compte sur toi.

http://www.benabar.com

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8 janvier 2006 7 08 /01 /janvier /2006 14:36

Jacques Chirac meurt accidentellement. Il est accueilli au Paradis par Saint-Pierre qui lui dit :
- Bienvenue ! Cependant, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si rarement des Présidents ici que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité. - Mais j'ai déjà décidé, je veux rester au Paradis.
- Je regrette, mais nous avons nos règlements. Saint-Pierre conduit
Jacques Chirac vers un ascenseur qui le conduit en Enfer.

Quand la porte s'ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés. Au loin se profile un superbe club house. A l'avant de l'édifice se trouvent son papa ainsi que Charles de Gaulle et Pompidou.

Une grande partie de la droite est là aussi ; tous ces beaux personnages s'amusent, heureux et habillés de façon élégante mais décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.). Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d'antan et leurs débats homériques (ha ! ha !).

Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar. Le Diable offre même une consommation glacée.
- Bois donc ce Margarita et relaxe un peu, Jacques !
- Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment.
- Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que tu veux sans t'inquiéter. À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux !

Jacques boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique. Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc.
Ils s'amusent tellement qu'ils ne voient pas le temps passer. Arrive pourtant l'heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras et Jacques Chirac prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel. Saint-Pierre l'attend à la sortie.

- C'est maintenant le temps de visiter le Ciel, lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis.
Pendant 24 heures, Jacques Chirac doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, Jean Monnet, Guy Mollet, Charles Hernu et le promeneur du Champ de mars et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l'argent et qui se traitent l'un l'autre avec courtoisie. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne ; pas de «club house » mirobolant mais un resto ordinaire.

Étant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune connaissance, et il n'est pas reconnu comme quelqu'un d'important ou de spécial!
Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de «paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines :
- Chasser les marchands du Temple, il sera plus difficile à un riche d'entrer dans mon royaume qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille, etc.
La journée terminée, Saint-Pierre revient...
- Alors, Jacques, tu dois maintenant choisir. Jacques Chirac réfléchit pendant une minute et répond :
- Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix. Hum ? Bon, je trouve le Paradis «intéressant », mais néanmoins je crois que je serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis.
Saint-Pierre l'escorte alors jusqu'à l'ascenseur et Jacques Chirac redescend jusqu'en Enfer.

Quand les portes s'ouvren, il se retrouve au beau milieu d'une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels.
Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté. Le Diable s'amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau.
- Je ne comprends pas, balbutie Jacques Chirac en état de choc. Lorsque j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house » ; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé. On s'est envoyé en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés.
Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a l'air misérable.

Le Diable le regarde, lui sourit, et lui susurre à l'oreille :
- Hier nous étions en campagne électorale ; aujourd'hui, tu as voté pour nous !



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4 janvier 2006 3 04 /01 /janvier /2006 21:56
Du 19/01/2006 au 26/01/2006

Le plus grand festival de cirque du monde sera à Monaco en janvier avec le 30e festival international du cirque de Monaco qui se tiendra sous le chapiteau de l'Espace Fontvieille du jeudi 19 au jeudi 26 janvier. Ce sera l'occasion de retrouver quelques uns des numéros primés par des clowns d'or ou d'argent, numéros qui ont marqué ces trente années tandis que les grandes familles du cirque, les Gruss, Knie, Togni, Lacey rendront un dernier hommage au Prince Rainier, grand amoureux du cirque et des animaux. Monaco vivra également la fin de l'année 2005 et le début de 2006 sous les couleurs du cirque. La place du Casino de Monte Carlo sera transformée en Piste aux étoiles. La SBM a choisi le thème du cirque pour les fêtes de fin d'année avec des clowns, jongleurs, trapézistes, équilibristes et autres au menu de ses fêtes et soirées.

En savoir plus: http://www.ficmc.fr.st
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4 janvier 2006 3 04 /01 /janvier /2006 10:24

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29 décembre 2005 4 29 /12 /décembre /2005 18:22
ETUDES  - En classe...

- Je ne dors pas en classe, je me repose.
- Je ne me distrais pas, j'examine mes stylos.
- Je ne parle pas en classe, j'échange mes opinions.
- Je n'ai pas de 0, ce sont les profs qui font des gribouillages sur leurs cahiers devant mon nom.
- Je ne dis pas de conneries, je développe mon lexique.
- Je n'insulte pas les profs, je leur rappelle ce qu'ils sont.
- Je ne lis pas en cours, je m'informe.
- Je ne fais pas de tags dans le bahut, je le décore à ma façon.
- Je ne sèche pas les cours, on m'appelle ailleurs.
- Je ne mange pas de chewing-gum, je muscle ma mâchoire
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24 décembre 2005 6 24 /12 /décembre /2005 13:01
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20 décembre 2005 2 20 /12 /décembre /2005 14:28

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18 décembre 2005 7 18 /12 /décembre /2005 18:51
Le Canada tire sa prospérité de l'immigration
Amérique du Nord Deuxième destination mondiale des migrations, le Canada a un système sélectif et planifié pour gérer des flux jugés essentiels à la bonne marche de l'économie.

Stéphane Kovacs
[19 novembre 2005]


SES YEUX s'embuent derrière ses lunettes à double foyer, ses mains se crispent sur ses nouveaux papiers, ses jambes vacillent dans ses grosses chaussures orthopédiques. Mais Thomas, né à Hongkong il y a quatre-vingt-quatre ans, a tenu à se lever de son fauteuil roulant pour chanter Ô Canada. «Aujourd'hui est un grand jour !, s'émeut le vieil homme. Je suis devenu canadien, avec ma femme et ma fille. Nous tenions à montrer notre attachement à ce pays qui nous a accueillis en 1998 et à terminer notre vie en tant que citoyens canadiens.»

«Contribuer à la croissance»


Ce «grand jour», les 80 personnes de 18 nationalités participant à cette cérémonie à Vancouver l'attendaient depuis au moins trois ans : la période qu'il faut avoir vécue au Canada avant de réclamer passeport et droit de vote. Autres conditions : connaître les droits et les responsabilités associés à la citoyenneté, posséder certaines connaissances sur le Canada et parler français ou anglais. Les moins de 55 ans doivent également passer un «examen de citoyenneté», questionnaire à choix multiple.


Réputée pour sa douceur de vivre, Vancouver, troisième agglomération du pays en nombre d'habitants ­ dont la moitié d'origine asiatique ­, est l'une des destinations favorites des immigrants : ici, devant un public bigarré, où se mêlent hidjab, turbans et saris, les «cérémonies de citoyenneté» s'enchaînent, au rythme de 6 à 8 par semaine. Le Canada est la deuxième destination mondiale des migrations, après l'Australie. Il rassemble plus de 200 groupes ethniques différents. En 2004, quelque 190 000 personnes ont obtenu la citoyenneté canadienne. Chaque année, ce pays de 32 millions d'habitants ­ dont un sur six est issu de l'immigration ­ accueille entre 220 000 et 240 000 nouveaux arrivants.


Le gouvernement vient de réévaluer, pour l'an prochain, ses objectifs à 300 000 immigrants. «L'immigration a toujours été et continuera d'être un outil primordial à la construction du Canada, affirme Joe Volpe, ministre fédéral de l'Immigration. Un programme d'immigration efficace est essentiel à notre prospérité économique et sociale.» Confronté à une pénurie de main-d'oeuvre dans de nombreux secteurs et dans de nombreuses régions, le Canada a choisi une immigration sélective et planifiée.


Chaque province et territoire est consulté. Les acteurs de la société civile (associations, formations politiques, chefs d'entreprises, etc.) ont aussi leur mot à dire. Les candidats sont recrutés en fonction d'une série de critères (âge, formation, polyvalence, connaissance des langues...). Quelque 60% des immigrés sont des travailleurs qualifiés ou des investisseurs, le reste relevant du regroupement familial ou de l'humanitaire. «Nous gardons l'oeil sur ces proportions, insistent les services d'immigration. Nous voulons sélectionner des candidats dont on est sûr qu'ils vont contribuer à la croissance de notre pays.»


Pas d'angélisme dans les services canadiens de l'immigration. Les CV sont épluchés. Une maladie grave ou un handicap peut recaler tous les membres d'une famille. Et, pour demander le rattachement de parents, il faut pouvoir subvenir à leurs besoins pendant dix ans. Environ 15 000 candidats ont ainsi été refusés l'an dernier. «C'est un processus transparent et ordonné», souligne-t-on. Résultat : les deux tiers des Canadiens voient les immigrants d'un oeil bienveillant.

Le délai d'attente pour obtenir un visa de résident permanent est en moyenne de deux ans. Des programmes spécifiques à chaque province, ciblant certaines professions, permettent cependant d'accélérer la procédure.


Car le souhait du Canada est désormais de mieux répartir ses immigrés dans son vaste territoire. Assise sur la deuxième réserve pétrolière du monde, la province de l'Alberta, la plus riche du pays, n'attire que 7% des immigrants ! A Fort Mc Murray, où l'on retire des sables bitumineux environ un million de barils par jour, un électricien peut gagner plus de 160 000 dollars canadiens (115 000 euros) par an... et pourtant on n'en trouve pas ! Le secteur énergétique, qui emploie 500 000 personnes au Canada, devrait en recruter 240 000 autres d'ici à 2008.


Docteur en biologie, Nathalie Vergnolle, 37 ans, est aujourd'hui responsable du département de pharmacologie de l'université de Calgary. «En France, je n'avais aucune perspective, raconte la jeune femme. Ici, on m'a proposé monts et merveilles... Mon salaire est deux fois plus élevé que celui d'un directeur de recherches à l'Inserm et les moyens accordés sont incomparables ! Quant à mon mari, menuisier, il a récemment voulu changer d'employeur : quelques heures après s'être inscrit sur Internet, il avait une trentaine de propositions.»

La reconnaissance difficile des diplômes

«Au Canada, je ne me sens jamais aussi en sécurité que dans un taxi, car la plupart du temps le chauffeur est un ancien médecin...»

Architecte de plus de 15 ans d'expérience en Belgique, Hilde Digard a été obligée de repasser ses examens à Vancouver pour pouvoir signer ses plans.Le principal problème demeure la reconnaissance des diplômes et des antécédents professionnels étrangers. Six mois après leur arrivée, seuls 20% des immigrés disent exercer un emploi correspondant à leurs compétences. Un phénomène illustré par la boutade d'un ex-ministre de l'Immigration : De même, il faut compter une dizaine d'années avant qu'un nouvel arrivant n'atteigne le niveau de revenu des autres Canadiens. Et, pour les personnes nées à l'étranger, le taux de chômage est le double de la moyenne nationale. «On parle beaucoup de justice sociale et d'équité, mais dans la réalité on est loin de nos idéaux», résume Marc Arnal, doyen du campus St-Jean à Edmonton.

A Vancouver, dans les bâtiments du ministère de l'Immigration, la «cérémonie de citoyenneté» se termine. «Lorsque vous rentrerez à la maison, faites un effort pour faire connaissance avec vos voisins, recommande la juge, Marie Bourgeois. C'est en apprenant à connaître les autres qu'on acquiert le respect des cultures et des traditions d'autrui. Très peu d'entre nous partagent le même passé, mais nous pouvons tous partager le même avenir.»


http://www.lefigaro.fr/international/20051119.FIG0017.html?175306
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17 décembre 2005 6 17 /12 /décembre /2005 19:15
« Légendes » par les Etoiles du Cirque de Pékin au Phénix
DU GRAND ART

ARIANE BAVELIER, mercredi 7 décembre 2005

Phénix, les étoiles du Cirque de Pékin sont quarante-sept. Elles nous offrent pendant deux heures un feu d’artifice d’exploits, exécutés avec une grâce céleste. Ni roulements de tambour, ni bric-à-brac d’agrès étranges, ni de ces procédés de foire qui ont rejeté le cirque au ban des arts. Ici, de poétiques légendes chinoises introduisent les numéros. Tous appartiennent à la tradition chinoise. Le cirque est né dans ce pays à l’orée des temps. Il s’y est ensuite développé à la cour des seigneurs et des empereurs comme un divertissement aristocratique. Ressuscité dans les années 50, il tient aujourd’hui l’excellence absolue dans deux domaines très spécifiques : l’acrobatie et la manipulation d’objets. Conjuguées l’une à l’autre, ces deux disciplines permettent des perspectives infinies.La plupart des numéros sont appris et répétés par les artistes depuis l’enfance, à l’Ecole de cirque de Pékin, mais au Phénix ils sont exécutés par les Etoiles de la troupe avec une prise de risque et une maîtrise supplémentaires. Que préférer ? Deux hommes jonglent avec des jarres de 3,5 et 5 kg qu’ils font tourner sur un doigt. D’irrésistibles cyclistes, tout de rouge vêtues, déroulent un carrousel de vélos, avec figures de saute-mouton et pyramides surhumaines. Deux fildeféristes se produisent en simultané. L’un se promène sur son fil souple sur la tête, puis debout en se balançant. Dans un numéro de porté acrobatique, une jeune danseuse fait des pointes dans la paume de son partenaire. Elle y tourne en arabesque. Trois ludions s’engouffrent dans des tubes avec lesquels ils composent des créatures étonnantes. Des acrobates bondissent dans des cerceaux placés à deux mètres du sol... C’est un festival !

CRITIQUE. Ce que vous verrez là, vous ne le trouverez nulle part ailleurs. Pas même à Pékin. D’abord parce que les meilleures étoiles sont souvent en tournée à l’étranger. Et aussi parce que le spectacle a été construit par les metteurs en scène du Phénix, avec le souci d’envelopper les prises de risque, de charme et d’élégance. Du coup, tout le monde est pris : les grands comme les petits qui suivent le spectacle bouche bée et s’essaient à l’entracte à se servir autrement de leur corps !

Cirque Phénix : Pelouse de Reuilly (XIIe), loc. : 0 825 039 040. Jusqu’au 8 janv. , de 15 à 45 €.


L’excellence dans deux domaines spécifiques : l’acrobatie et la manipulation d’objets. (DR.)

La liste des tournées 1°Trimestre 2006:

 

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