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Milpassion

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Citations :

Être vieux, c'est être jeune plus longtemps

[Phlippe Geluck]

 

J'ai été vieux trop tôt, je suis jeune trop tard.
[ Jacques CHANCEL ]


On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Le peu que je sais, c'est à mon ignorance que je le dois.
[ Sacha Guitry ]

La façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède, mais à celui qui la regarde

[Jacques CHANCEL]


Les leçons ne servent généralement qu'à ceux qui les donnent.
[ Pierre Dac ]


Mieux vaut un mauvais caractère que pas de caractère du tout.
[ Georges Bernanos ]


Je me suis mis au régime : en quatorze jours, j'ai perdu deux semaines.
[ Joe Lewis ]

La pluie ne mouille que les cons.
[Olivier de Kersauson]


La mode, c'est ce qui se démode.
[ Jean Cocteau ]


Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
[ Antoine de Saint-Exupéry ]


Toutes choses sont dites déjà ; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer.
[ André Gide ]


Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
[ Beaumarchais ]


Certains sentent la pluie à l'avance : d'autres se contentent d'être mouillés.
[ Henry Miller ]


Et pour quelles raisons étranges, Les gens qui pensent autrement, ça nous dérange ?
[ Michel Berger ]


Il vaut mieux aller quelque part pour rien, que d'y renoncer pour quelques choses.
[ Jean Aurèl ]

Quand on entend tout ce que l'on voit et que l'on voit tout ce que l'on entend, on a raison de ne rien dire de ce que l'on peut voir, et de ne plus rien regarder de ce qui se dit.

[ Jean Aurèl ]

 
Une vie ne vaut rien
Mais rien ne vaut une vie
[André Malraux ]


Une fois, c'est une erreur, deux fois, c'est une mauvaise habitude.
[ Proverbe québécois ]


Il faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.
[ Proverbe chinois ]


Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.

[ Proverbe chinois ]
 

 

Je crois en rien, mais je pratique tous les jours

[Jean Aurèl]


C'est pas parce que on aime les cerises, qu'il faut avaler le noyau.


L'argent est comparable à un tas de fumier.
Si on le laisse en tas, il pollue l'air.
Si on le disperse dans le champ, il fertilise la terre et donne des moissons.

28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 10:12
Comme il disait "Pour moi le rap c'est pas de la musique, c'est des vociférations, des éructations (...) J'admets que le rap soit une forme d'expression pour des gens primitifs (...)"
Il n'avait pas sa langue dans la poche, et j'adorais ce personnage bourru, mais qui assumait.
Cinq ans après Bécaud et à quelques jours d'intervalle, l'auteur a rejoint le compositeur.
"Et le spectacle continu "avait-il écrit parmi ces milliers de chansons.

Un petit rappel sur le quator: Bécaud/Delanoé/Vidalin/Amade :


Gilbert Bécaud, de son vrai nom François Gilbert Silly, est un chanteur compositeur et pianiste - né le 24 octobre 1927 à Toulon (Var – France), décédé le 18 décembre 2001 à Paris (France).

Il se produisit 33 fois sur la scène de l'Olympia où il y gagna son surnom de "Monsieur 100 000 volts".
Il laisse l'image d'un homme électrique, toujours en mouvement.
Sa cravate à pois, ses quelques 400 chansons et sa main sur l'oreille lors de ses concerts sont d’autres images qui ont marqué les esprits.

Cette cravate à pois était pour lui un fétiche et un porte bonheur car elle a une histoire : Gilbert avait étudié le piano et, encore jeune, cherchait du travail. Il s'est présenté pour faire un essai dans un piano-bar qui recherchait un pianiste. Mais le patron lui a dit que c'était impossible, compte tenu de l'image de marque de son établissement, car il ne portait pas de cravate. Comme il était accompagné de sa mère qui portait une robe bleue à pois blancs, celle-ci a immédiatement découpé le bas de son vêtement pour en faire un semblant de cravate que Gilbert a noué autour de son cou avant de retourner voir le patron du bar, qui l'a laissé jouer et l'a immédiatement embauché. Depuis ce jour, Gilbert Bécaud s'est toujours présenté sur scène avec une vraie cravate à pois, sans jamais changer de modèle, en souvenir de ce premier épisode de sa carrière.

Gilbert Bécaud se produisait toujours sur scène avec le même piano qui avait une particularité : il était légèrement incliné. En effet, Gilbert tenait à voir la salle lorsqu'il était assis au piano et, pour cela, il avait demandé à Jacques Dinnat (son régisseur) de faire couper l'un des trois pieds de l'instrument afin de lui donner l'inclinaison nécessaire, ce qui a été réalisé par un menuisier de la région parisienne. Cette inclinaison, à peine visible pour un œil non averti, était suffisante pour obtenir le résultat voulu, sans être gênante pour son jeu ou celui de Gilbert Sigrist, pianiste qui l'accompagnait alors régulièrement.

Il travaillait essentiellement avec trois paroliers :

    * le poète et préfet humaniste Louis Amade (« Les marchés de Provence », « L'orange », « On prend toujours un train pour quelque part »...)
Louis Amade (1915-1992) est un auteur parolier né le 13 janvier 1915 à Ille-sur-Têt, dans les Pyrénées-Orientales.

    * Maurice Vidalin, aux textes exprimant souvant souffrance intérieure et désespoir (« L'indifférence », « L'amour est mort »...)
Maurice Vidalin, né à Paris en 1924 et mort à Rueil-Malmaison en 1986, est un auteur, parolier français. Il a souvent écrit ses textes sur des musiques de Jacques Datin (1920-1973). Dès 1954, ils écrivent pour Juliette Gréco une de leurs premières œuvres, On en dira (Marc Lanjean coécrit les paroles avec Vidalin). À partir de 1957, leur fructueuse association donne de grands succès comme Zon zon zon interprété par Colette Renard et Michèle Arnaud (1957), Julie par Marcel Amont (1957), Les Boutons dorés écrit pour Jean-Jacques Debout et repris par Barbara en 1959.
Parmi ses nombreux interprètes, on peut citer : Gilbert Bécaud, Michel Fugain, France Gall, Juliette Gréco, Françoise Hardy (Le Temps des souvenirs), Gérard Lenorman, Mireille Mathieu (Paris en colère).
En 1961, Jean-Claude Pascal, représentant le Luxembourg, a remporté le Grand Prix du Concours Eurovision de la chanson avec Nous les amoureux et, en 1962, Camillo Felgen, représentant également le Luxembourg, une 3e place avec Petit Bonhomme, deux chansons du tandem Vidalin-Datin.

    * Pierre Delanoë, aux thèmes chargés de tension affective (« Mes mains », « Et maintenant », « Nathalie », « Je t'appartiens »...)
Pierre Delanoë, de son nom civil Pierre Charles Marcel Napoléon Leroyer né à Paris le 16 décembre 1918 et mort le 27 décembre 2006 d'un arrêt cardiaque, est un parolier français.

Il est à l'école des oratoriens et étudie d'abord le droit. Il entre dans l'administration fiscale comme receveur puis inspecteur des impôts. Après guerre il rencontre Gilbert Bécaud et entame une carrière de parolier. Il a signé les textes de plus de 4000 chansons. Outre Bécaud pour lequel il créa, entre autres : Mes mains, Le jour où la pluie viendra, Nathalie, Je t'appartiens, Et maintenant, L'Orange, ou La Solitude, il écrivit également pour Édith Piaf (La Goualante du pauvre Jean, ...), Tino Rossi (Deux amants), Hugues Aufray( Le rossignol anglais, L'épervier, Les crayons de couleur, Stewball), Michel Fugain (Je n'aurai pas le temps, Une belle histoire...), Nicoletta (Il est mort le soleil), Nana Mouskouri (Que c'est bon la vie, Adieu Angelina), Michel Polnareff (Le bal des Laze), Gérard Lenorman (La Ballade des gens heureux, ...), Joe Dassin (L'Été indien, Champs-Elysées, Et si tu n'existais pas...), Nicole Rieu (Et bonjour à toi l'artiste), Michel Sardou (Les Vieux Mariés, Le France...), Charles Aznavour, Claude François, Serge Reggiani, Dalida...


Bécaud se glissait d'une chanson à l'autre dans les personnages très différents décrits par ces trois auteurs, maintenant son public en éveil... et enthousiaste si l'on en juge par les fauteuils souvent cassés par l'agitation du public. Par la suite, il travaillera souvent avec Claude Lemesle.

Il est inhumé dans la 45e division du cimetière du Père Lachaise. En 2003, la comédienne Sophie Daumier a été enterrée dans la tombe voisine.

Dans les années 90, Bécaud collabore également avec Mick Lanaro (album : Une vie comme un roman), puis avec André Manoukian (album : Faut faire avec...).


lien a consulter:
http://www.auteurscompositeurs.com/delanoe.html



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